Première Déception signée John Doe
sur SciFi-Universe
Contient : aspect (3)(...) A ce sujet, il faut savoir que Patient 13 n'est ni un jeu de one-shot (les parties isolées appelleront plus de questions que de réponses, et donc fatalement des suites), ni un jeu se prêtant aux trop longues campagnes (la particularité du background implique nécessairement unaspectredondant et lassant). Un format un peu bâtard, mais finalement sans importance, car la réussite d'une séance de Patient 13 ne repose de toute façon pas sur le scénario, mais sur les frêles épaules du maître de jeu (ici le Docteur). (...)
Enfin, la principale déception de Patient 13, à mon sens, est sa partie sur la psychologie. Alors que cetaspectest systématiquement mal traité dans les autres jeux de rôle (L'appel de Cthulhu y compris), on était en droit d'attendre, vu le contexte, une partie un minimum renseignée sur la psychologie, la psychiatrie et les traitements, sorte de "psycho pour les nuls" qui serait utilisable pour nombre d'autre jeux... Raté, le tout est une nouvelle fois expédié et bâclée... EN CONCLUSION : Vincent L. (...)
LES MOINS : Une intrigue générale décevante, Tout repose sur le MJ, Nécessite un MJ très expérimenté, Nécessite un travail énorme pour le MJ, Une partie psychologie bâclée, Unaspectfantastique peu subtil, Une campagne proposée peu pertinente.Les productions John Doe se suivent et ne se ressemblent pas... Après le space opéra de Final Frontier ou les zombies de Plagues DK, débarque sur nos étals Patient 13, sorte d'ovni rolistique qui propose aux joueurs d'interpréter les internés d'un asile psychiatrique. Patient 13 se présente sous le même format que les autres productions John Doe (un livre au format A5 de 128 pages), et suit le même principe d'édition que Final Frontier, à savoir proposer un jeu complet qui se suffit à lui même et ...