Peste ! .....
sur Tartofrez au format (117 Ko)
Ce scénario a été initialement publié dans le supplément Prédateur et Charognard, édite par le 7ième cercle pour la gamme Vermine. Jérôme « Brand » Larré. Ce scénario est prévu pour des meneurs de jeu de Niveau 3, mais il peut être joué par des meneurs de Niveau 2 moyennant une préparation des événements-clés et des interventions des deux intervenants majeurs, que sont le Cardinal Séverin et Bernadette II. Il ne constitue en rien une introduction au jeu, et il est très important ...Contient : politique (5)(...) Parallèlement, bien qu'il n'y ait que peu de combats, la violence est très présente, notamment celle exercée par l'appareilpolitiquede la cité. Suivant la façon dont vous installerez l'ambiance à votre table, certaines de ses atrocités pourront très bien se faire l'écho des pires moments de notre histoire. (...)
L'implication des personnages : S'il ne fait aucun doute que les aventuriers trouveront leur intérêt dans l'écheveaupolitiqueet religieux, reste à définir les motivations qui vont les pousser jusqu'à la cité de la Papesse. (...)
A moins de venir «en touristes» dans la région, les personnages y seront certainement envoyés par quelqu'un, commandité spour obtenir des informations, assassiner un responsable, alimenter un foyer de révolte... Autant de pistes qu'il conviendra de développer plusieurs aventures en amont, pour exploiter pleinement le potentielpolitiquede ce décor. Le Train est un petit groupe semi-nomade initialement basé au Blocus. Constitué d'une dizaine de véhicules divers savamment modifiés, renforcés, reliés entre eux puis posés sur leurs jantes, il emprunte les anciennes voies ferrées de montagne qui avaient été abandonnées depuis la seconde guerre mondiale. (...)
Il s'agit principalement d'anciens de la division Dubord ou d'hommes spécialement entraînés, qui jouent donc davantage un rôle de policepolitiqueque de religieux. Bien entendu, évangélistes comme prêcheurs sont autant de paires d'yeux et d'oreilles pour le sanctuaire. (...)
Mine de rien, cela veut dire cautionner un gouvernement coupable de crimes massifs, perverti comme peu, et qui s'est tellement cru hors d'atteinte que ses dirigeants ont préféré lapolitiqueet le pouvoir à la défense et la survie de la communauté. D'un autre côté, les demandes des citadins et des pèlerins, pour justifiées qu'elles soient, ne peuvent aboutir, faute de quoi la communauté déstabilisée, ne sera plus à même de se défendre contre la vermine. (...)