Du nouveau dans ma besace : Dark Heresy
Contient : création (3)(...) Fini de sauter d'une carrière à l'autre sans forcement que cela soit justifier de manière acrobatique dans un scénario ou par un MJ compréhensif. D'ailleurs le choix est assez limité, seulement huit carrières sont proposées à lacréationdu futur Inquisiteur. Malgré la faible diversité, celle-ci est suffisamment représentative de l'univers (même si certaine sont plus attirantes que d'autres, comme les techno-prêtres et la Garde Impériale). (...)
On utilise ce qui fonctionne bien, on adapte pour coller au plus juste à un univers futuriste et hop la sauce prend. Toute fois, je ne sais pas si c'est moi, mais j'ai quand même l'impression qu'àcréationégale un personnage Warhammer classique est plus puissant à en juger les caractéristiques de base, que l'un de ses homologue de 40K. (...)
Cela ne gâche pas pour autant le plaisir de jeu, mais risque de faire tiquer les vieux loups qui passent de Warhammer à Dark Heresy. Après une bonne dose decréation, de développement et de règles divers, on passe à la partie Equipement qui représente un éléments important dans ce monde du 41° millénaire. (...)Après lecture de l'ouvrage : Whaoou, voilà ce qui m'est passer par la tête lorsque je l'ai eu dans les mains la première fois. Dark Heresy est un peu l'Arlésienne du JDR, plus ou moins vingt ans que le monde du jeu de rôle attends une adaptation du monde sombre et sauvage de Warhammer 40 000. Et c'est maintenant chose fait avec cet épais tome de plus de 400 pages richement (qui est le premier d'une trilogie : Inquisition, Roge Traider et Space Marine) remplis de presque tout ce qu'il faut pour ...