Nimo
sur Vaches au format (68 Ko)
Je me présente, je suis Nimo, Baron Nimo originaire du MOOTLAND. Je suis un Halfeling, né le 4 Ulriczeït 2442, d'1m10 de haut pour 54kg environ. J'ai les cheveux Mordoré(quand ils auront repoussé) et les yeux marrons. Le Moot est une région agricole pas très loin de l'ancienne capitale Nuln. C'est pays où il y fait bon vivre de part son climat et ses riches terres. On y trouve la meilleure herbe à pipe de tout l'empire et ce quoi qu'en disent les Nains avec le Back Shag n°4, rien ne vaut une bonne ...Contient : sir (35)(...) Je me relevais rapidement sachant que le reste du troupeau allait suivre, lorsqu'un éclair noir fendit l'air juste à côté de moi, accompagné d'un tonnerre de sabot. C'étaientSirwing, suivis à pied de Reeshan, mes futurs compagnons, qui venaient à ma rescousse. Ne connaissant pas encore leurs grands talents de guerriers, je reprenais ma course vers l'auberge, leur laissant le soin de liquider ces créatures. (...)
Tous les deux étaient de la forêt de Loren et faisaient route vers Altdorf. J'apprit que Reeshan suivait un régime végétarien, était-ce déjà une folie ? En tout cas, lui etSirwing n'en savait que très peu sur la cuisine elfique pour ma plus grande déception. Sagement, nous décidâmes de faire désormais le reste de la route ensemble. (...)
Les émotions que je venais d'avoir me faisaient tourner la tête, au point de trouver tout de suite le sommeil, confiant dans les deux amis que je venais de me faire.Sirwing m'en tira rapidement vers minuit, alors que les chevaux de l'écurie hennissaient anormalement. (...)
Malgré la peur qui nous tenaillait, Reeshan se rua sur la statue parvenant à la briser dans son élan, tandis queSirwing cherchait à briser les cierges. Notre but était d'empêcher tout invocation de démon. De mon coté, d'un grand courage, je me précipitais sur Hanz, pour l'empêcher de finir ses incantations : tuer le mal à la source au mépris du plus grand danger. (...)
Tourbillonnant comme une toupie, laissant derrière elle des particules de toutes les couleurs, et changeant sans cesse de forme elle se rua sur un des mutants, le découpant en pièces.Sirwing avait déjà tué un des vils mutants cultistes, adorateurs du chaos tandis que Reeshan affrontait ce démon rose. (...)
Esquivant quelques attaques, je peinais pour pouvoir lancer mon sort, cependant ma dextérité lui fît rejoindre le sommeil éternel et son sang se mêla à celui de ses compagnons. Pendant ce temps, Reeshan etSirwing combattait cette horreur venue du chaos, qui une fois vaincu, créa deux même créatures mais en un bleu des plus laids. (...)
Puis à point nommé, Johann essaierait d'apparaître au milieu de la pièce centrale pour faire peur aux gardiens. Alors, interviendraient Reeshan etSirwing, tous les deux déguisés, ils assommeraient les gardes et moi venant délivrer Klaus. Le plan fût mis à exécution le soir même après l'achat préalable d'un tonneau d'alcool local particulièrement décapant. (...)
Soudain la porte s'ouvrit pendant que mes compagnons nous assommèrent. Je suis heureux que ce soir là,Sirwing ne me décapita pas en m'assommant contrairement à son habitude. Je devais souffrir pour aider ce jeune couple. (...)
Les explications données le lendemain suffirent amplement à nous disculper, les gens connaissant la consommation horaire des deux gardes. Emmaretta pour sa part, tint sa parole et partit le jour même sur la piste en compagnie deSirwing sur son fidèle destrier noir. Le soir à leur retour, après avoir galopé toute la journée, pendant que je récupérais de ma cuite de la veille,Sirwing me raconta la découverte de la main de Johann. Ils trouvèrent cette dernière dans un ancien campement, au milieu des bois, plantée par une flèche noire dans un tronc. (...)
Je n'ai plus guère de souvenir concernant cette nuit, et je ne puis vous dire qu'elle concernait l'assassinat d'un certain Bruno. Le récit qui suit est celui deSirWing. Arrivé à l'auberge, nous demandions au patron la signification des marques sur la bague en même temps que notre chambre. (...)
Je commençais alors à regretter ma nouvelle condition de champion lorsque j'entrevit l'autre champion. Mais je rend la plume à Nimo. Nous arrivions donc à Delberz, comme l'écritSirwing, et ce fût un lieu très important dans ma vie de sorcier.Sirwing et Reeshan allèrent se renseigner où trouver l'inventeur pendant que de mon coté je cherchais mon premier maître. Le procès ne devait avoir lieu que le lendemain. (...)
Ils revenaient de chez l'inventeur et rejoignaient la gravin à l'auberge. Celui-ci habitait à l'écart de la ville pour des raisons de sécurité. LorsqueSirwing tira à la cloche de la maison, une musique de clochette dura pendant une longue période avant qu'un Halfeling vienne ouvrir la porte. (...)
Aussitôt, Grogar Pittiné, l'Halfeling devint sympathique et les conduisit au sous-sol. Là, ils virent un énorme poisson métallique, sa dernière invention.Sirwing dit à la vue de cette machine submersible: « Mais... le poisson ne pourra pas passer par la porte. (...)
Après l'avoir examinée quelques minutes en répétant : « Je vois le probléme... Je vois le probléme... - Mais quel problème ? DitsSirwing, au moment où la bague s'ouvrait comme une fleur, avec les ressorts faisant le bruit des oiseaux et agitant toutes les pièces dans un chaos métalliques. (...)
» On passa toute la journée à voir des inventions toutes plus loufoques les unes que les autres, du plumoir à poulet en passant par un tube de respiration aquatique. Bref, Ils le remercièrent bien chaudement et retournèrent à l'auberge,Sirwing devait se préparer au vu du duel suivant le procès. La semaine se passa ainsi : Reeshan s'entraîna aux armes, tandis que j'étudiais ardemment. Le procès se passa mal pour la gravin.Sirwing dû combattre et perdit son titre de champion en recevant une méchante blessure, l'immobilisant toute la semaine. (...)
Les bénéfices furent suffisant pour payer ce que je devais à mon maître et assurer mon arrivée à Altdorf. Le lendemain fût une journée gueule de bois pour moi et Reeshan tandis queSirwing partit s'entraîner à l'arc. Nous attendions désespérément un signe de la main. Quand sur le moment de midi, un groupe d'homme entra dans l'auberge. (...)
» Or Wolfgang était l'aubergiste avec qui j'avais de bonnes relations depuis le banquet. Il nous en avait déjà parlé, mais nous attendions que je finisse mon apprentissage etSirwing se remette de sa blessure. Cette étude avait d'ailleurs encore plus allégée ma bourse. Mon arrivée à Altdorf nécessitait une rentrée d'argent frais. (...)
Nous passions une nuit dans la forêt. Encore une fois, quelques zom-béte osèrent nous attaquer et ils en furent pour leurs frais.Sirwing récupéra même un plastron magique sur l'une de ces créatures. Reprenant notre route le lendemain, nous ne tardions pas à arriver en vue du château des Flèches Noires. (...)
Un occupant au ronflement trollien dormait, tandis qu'un de ses compagnons avait trop compté les moutons, tant son sourire était niais. Reeshan et moi, nous nous approchions de ce dernier, tandis qu'Axel etSirwing montais la garde derrière la porte. Sans un craquement de plancher, Reeshan mit sa dague sous sa gorge, tandis que je préparais un sort sommeil de secours. (...)
Reeshan se défendit avec bravoure, éliminant deux gardes avant que la situation ne devienne trop critique. Forest pour sa part fut poussé dans l'escalier entraînant dans sa chuteSirwing. L'arrivée fut brutale :Sirwing fut gravement blessé en amortissant la chute de Forest. La Flèche Noire fît pour la première fois son apparition, leur demandant les raisons de leur intrusion. N'obtenant qu'un silence angoissant, ils furent conduits au cachot en attendant qu'ils soient « jugés ». (...)
Emmenez le avec ses compagnons. » Malgré une petite hésitation, ils me mirent dans le cachot jouxtant celui deSirwing, soigné tant bien que mal. Ils me demandèrent ce que j'avais encore fait comme bêtises ? Combien de temps nous restaient-ils à vivre après ce que j'avais fait ? (...)
L'ensemble des brigands était réuni en un cercle. Chacun de nous devait montrer ses qualités réelles.Sirwing commença par affronter un simple brigand. C'était sous-estimé son talent, et il le désarma en quelques passes. Annalisa compris vite la situation, dégaina son arme en s'approchant deSirwing. « Jugeons réellement de ta valeur », dit-elle avant de le désarmer malgré une belle passe. (...)
Une simple incantation et ils hésitaient à me taper. Bref, j'améliorais considérablement la qualité de vie de Manchons. Reeshan,Sirwing et Forest continuaient leurs entraînements guerriers avec les gardes. Arriva le jour que nous attendions tous lorsqu'une bonne partie de la compagnie était partit en raid assez loin. (...)
Nous les enfermions dans les cellules laissant à leur camarade le soin de retrouver les clés. Seul un unique bandit opposa une résistance bien que faible face à l'acier deSirwing. Nous trouvions alors la Flèche Noire dans un sale état. Elle n'opposa qu'une très faible résistance : juste le temps àSirwing de faire voler son épée. Il ne lui restait plus que la force de nous maudire. Je me souviens encore parfaitement les derniers mots que je lui ai adressés. « Merci pour tout. Dommage que nous n'ayons pas eu cette nuit ».Sirwing et moi allions préparer les chevaux. Il essaya d' approcher le superbe étalon de la Flèche Noire. (...)
Arrivés en fin de soirée, Reeshan fit l'inventaire de notre moisson, afin de perfectionner les cours d'alphabétisation que je lui enseignais avecSirwing. C'était lui désormais qui tiendrait les comptes de notre petite compagnie. Voici d'ailleurs une copie de ce fameux parchemin : La main nous indiquait une bouche d'égout. (...)
Le courant et la profondeur en son milieu était assez importante. Aussitôt Reeshan fît luire les flammes de Napalm.Sirwing se jeta dans les flots d'immondices pour attraper Forest inconscient. Je sortais de ma besace, une corde que je lançais prestement àSirwing pour qu'il encorde Forest. Reeshan pour sa part découpa rapidement la goule en un tas de viandes cuites. (...)
Le combat fut bref et sans issue. Il ne fut même pas éclaboussé par les morceaux déjà cuits qui volaient.Sirwing avait peine à trouver prise sur Forest sans se faire emporter par le courant. Il lui glissa des mains et ne pu le retrouver. (...)