Le Manuel du Répurgateur
sur Vox Ludi au format (17.2 Mo)
Contient : bouche (4)(...) » Le répurgateur Krieger avait déjà prononcé la condamnation à mort de tant d'hérétiques que ces mots sortaient de sabouchesans que sa voix calme et posée ne traduise le moindre sentiment. Pas de peur, pas d'excitation, pas même le zèle religieux con? (...)
Le répurgateur se retourna pour faire signe à Elrich de le rejoindre mais son bras se ?gea, ses pupilles se dilatèrent et sabouchene ?t que s'entrouvrir sans qu'aucun son n'en sorte. Derrière son lieutenant, une silhouette gigantesque venait de se dresser sans un bruit, une silhouette qui semblait dévorer la faible lumière qui ? (...)
Le principe est que le poids de l'hérétique force la pénétration du « meuble » dans l'intimité du corps. Très douloureux et très pratique pour la mise enbouchede la proie. - Le bourreau lui lie les mains, lui coupe les cheveux et la place sur l'échelle. (...)
L'hérétique est déshabillé et on lui met une chemise soufrée, on le fait entrer et monter sur les rangs de fagots et de bois au bas du poteau. On lui attache le col et les pieds avec une corde, le milieu du corps avec une chaîne de fer, onboucheensuite l'endroit par lequel il est entré et on y met le feu... Pour que les simples criminels ne sentent pas la douleur du feu, il existe un moyen qui s'exécute ordinairement sans qu'ils s'en aperçoivent : les exécuteurs se servent pour construire le bûcher de crocs de batelier, puis ajustent un de ces crocs dans le bûcher en le fermant, de façon à ce que la pointe se trouve vis-à-vis du coeur. (...)« - Ils sont prêts, Monseigneur. - Fort bien, que la colère de Sigmar s'abatte sur ces mécréants. Que pas un n'en réchappe. » Le répurgateur Krieger avait déjà prononcé la condamnation à mort de tant d'hérétiques que ces mots sortaient de sa bouche sans que sa voix calme et posée ne traduise le moindre sentiment. Pas de peur, pas d'excitation, pas même le zèle religieux con?nant au fanatisme qu'af?chaient certains de ces acolytes. Ils devaient mourir, pour la simple et bonne raison qu'ils étaient ...