Le Culte De Tzeentch
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Contient : famille (10)(...) Il se retrouva donc orphelin, aux portes de la mort et vit alors comme dans un mauvais rêve les collecteurs de cadavres venir chercher les corps des membres de safamille. On lui réservait le même sort, jusqu'au moment où un prêtre de Shallya s'aperçut qu'il était vivant, quoique très affaibli par la maladie. (...)
La Fraternité étant en réalité à l'origine des événements qui ont conduit à la chute de cette illustrefamille, et ce grâce à plusieurs personnes in?ltrées à des postes « clés » de la ville. L'affaire Ludwig Boermann Tout commença deux ans auparavant lorsqu'une série de livraisons, destinées à certains des clients les plus importants de lafamilleBoermann, n'atteignirent jamais leur destination. A l'époque, il semblerait que monsieur Boermann ait lancé une enquête pour déterminer les causes de ces disparitions. (...)
Boermann tenta bien sûr de se discréditer de ces rumeurs auprès des autorités et de ses clients, mais une enquête minutieuse ordonnée par certains des plus exigeants de ces derniers démontra la véracité de ces rumeurs, notamment sur la base de témoignages particulièrement crédibles. A partir de ce moment, les affaires de lafamillemarchande commencèrent à chuter. Le point culminant de sa faillite fût ?nalement atteint lorsqu'une rumeur particulièrement néfaste se répandit dans les hautes sphères de Nuln. Celle-ci faisait, en effet, état de pratiques blasphématoires menées au sein de lafamilleBoermann et de l'af?liation du marchand à un groupe de dépravés sexuel. Une fois Objectifs : Selon les principes de la Fraternité, son but est de garantir à chacun le respect, la prospérité sociale, l'éducation, et la liberté individuelle. (...)
J'en prends d'ailleurs ci-dessous pour exemple la récente affaire Ludwig Boermann qui a conduit à la disgrâce l'une des plus in?uente et prospèrefamillemarchande de la cité. Je tiens à préciser que bien que n'importe quel citoyen de Nuln est convaincu de la véracité des éléments de cette affaire, celle-ci est en fait bien Page 61 encore, Ludwig Boermann nia tout en bloc, mais c'était sans compter l'opinion publique et l'intérêt que porta le répurgateur Karl Stalmeihn à cette affaire. (...)
Quant à leurs enfants, ils furent tous trois découverts nus et dans d'étranges postures dans les appartements de l'aîné de lafamille, héritier et successeur désigné des affaires de son père. On trouva près des corps sans vie des feuilles d'Araesia, une drogue extatique, mortelle à forte dose, et très prisée par les adorateurs du Seigneur des Plaisirs. A elle seule, cette découverte était bien sûr une preuve irréfutable de la corruption de lafamillemarchande. Ainsi, le soir même, les corps furent brûlés aux abords de la cité, tandis que Gernia Boermann était brûlée vive sur la place publique pour vénération des Sombres Divinités. (...)
nal, je n'ai pas encore pu déterminer les implications véritables de cette affaire, mais je suspecte fortement un jeune marchand d'origine modeste, qui est arrivé récemment sur le marché des importations de produits exotiques et de luxe. Si mes soupçons sont fondés, la Fraternité a joué un rôle actif dans la déchéance de lafamilleBoermann. Cela signi?erait qu'elle a supprimé cette dernière dans l'unique but de placer un de ses membres à la place et de disposer ainsi d'un contrôle sur une part des activités économiques de la cité. (...)
Leurs tâches se limitent simplement à récolter des informations sur leurs maîtres et leurs activités, cela pouvant aller de secrets defamilleà des renseignements sur diverses tractations commerciales, en passant par des informations importantes d'ordre politique (alliances entre familles nobles, visite informelle d'ambassadeurs étrangers, accords secrets, etc...). (...)«Le tonnerre gronda une fois encore, alors que la pluie et le vent fouettaient telles des furies la façade des bâtiments de la ?ère cité de Nuln. Gerhardt marchait aussi vite que possible depuis plus d'une demi-heure sous ce maudit temps. Son rendez-vous ne pouvait attendre et les informations qu'il transportait encore moins. Alors qu'il se frayait un chemin parmi les badauds, il trouva en?n la venelle. Il devait y rejoindre un intermédiaire chargé d'apporter à son supérieur le compte-rendu détaillé ...