Namur
sur Eric Christ au format (283 Ko)
Namur, an de grâce 1136, au début de l'hiver. Le vieux comte Godefroid est très malade et aux dires des médecins, il ne survivra pas à l'hiver qui s'annonce rude. Son jeune fils Henri doit lui succéder à la tête du comté. La suprématie des Ventrues s'étend sur toute la ville et ses environs. Même les autres clans, Lasombras, Malkaviens ou Toréadors se plient à la volonté du seigneur Angus, chef du clan des Ventrues. Ce dernier craint pour la vie du jeune Henri. Il charge donc son bras droit Brenor ...Contient : simple (4)(...) Outre quelques bougies sous verre suspendues aux poutres, la lumière vient principalement d'un immense âtre haut comme un homme où est placé en permanence un chaudron de soupe. Un page s'occupe des broches et des grillades. Le mobilier est assezsimplemais robuste : des tables et des chaises en chêne, quelques bancs le long des murs. Jauger l'humeur, l'ambiance qui règne dans l'auberge (Diff. (...)
Plusieurs fois, les deux hommes le touchent mortellement, mais sans pourtant sembler le blesser. C'est comme s'il ne sentait pas le douleur. Marcus est projeté à plusieurs mètres par unsimplecoup d'épée. Lantennac commence à faiblir sous les assauts rapides de son adversaire qui le transperce de son regard froid et terrifiant, avant de l'écarter d'un solide coup d'épée. (...)
Pour assassiner le jeune Henri, il a choisi d'utiliser Lantennac, un des fidèles chevaliers du comte Godefroid, en faisant peser sur lui un lourd chantage : il a enlevé une jeune paysanne dont le chevalier s'était épris. Le marché estsimple: sa vie contre celle du comte Henri. Pour faire assassiner le jeune comte, Lantennac a engagé une bande de mercenaires allemands de passage en ville. (...)
Il a engagé Mossan, lui promettant le sang d'Angus, lui se réservant celui d'Octavius. Son plan estsimple: faire assassiner Henri de Namur et faire porter la faute sur Octavius, son ancien rival et ennemi. (...)