La trilogie New-Yorkaise - chapitre deuxième : Histoires
Indiennessur Eric Christ au format (91 Ko)
Note: Ce scénario est la suite de la Trilogie New-yorkaise de Léo Henry. Etant moi même un MJ débutant, je me suis contenté de recopier Histoires Indiennes et Convoi Exceptionnel, puis de les lier en tentant de les adapter à la chronique. Puissent leurs auteurs me pardonner, mais ce n'est pas dans un but de plagiat que j'ai repris leurs oeuvres. Passons maintenant au scénar. Il est écrit pour des Joueurs s'étant liés d'amitié avec Ethel et Francis Irving, de même que le troisième volet de la trilogie ...Contient : société (12)(...) Dans sa main recouverte de sang, il serre convulsivement un morceau de papier portant un logo, que quelques recherches permettront d'identifier comme étant celui d'unesociétéd'électronique assez connue, la S.E.A.C. Dès lors qu'il les a reconnu, il tente de leur parler : La Cadillac noire. (...)
523, Tenfold Drive On trouve facilement, au 523 de Tenfold Drive, un grand immeuble gardé, à l'accès restreint, et entouré de grilles, appartenant à la S.E.A.C. : il s'agit d'un des centres de recherche de cettesociété. Durant la journée, il est possible d'aller jusqu'à l'accueil sans aucune difficulté, mais dès que les activités diurnes de la S. (...)
S'il est envisageable, durant la journée, d'aller plus loin que l'accueil grâce à moult ruses de sioux, pénétrer dans l'immeuble de nuit doit être quasiment impossible ¾ en tout cas, personne n'est encore revenu se vanter d'y être parvenu... Cettesociétéabrite en fait un centre de recherche de la Technocratie, dans lequel elle produit depuis quelques temps désormais du Tass. (...)
Pour une poignée d'informations Tout ce qui a trait au transfert, qui doit se faire dans la nuit, est stocké dans les ordinateurs de lasociété. Un accès pirate, un soudoiement ou toute autre méthode permet bien évidemment de se procurer des informations intéressantes sur le transport. (...)
Il existe une troisième salle, mais celle-ci est A part ça, les PJs peuvent trouver un peu partout (sur les caisses, sur les jeeps...) l'insigne de lasociétépour laquelle Ellwor et Hawkins travaillent. Ce dernier ressemble d'ailleurs étrangement à celui de la S. (...)
Phoenix... Pas besoin de présenter Phoenix, charmante bourgade miteuse des Technomanciens, siège de lasociétéI.M.A. qui sert d'écran à la cabale d'Hawkins et Ellwor. Les PJs auront l'occasion de visiter ses rues crados et, en prime, un de ses buildings. (...)
Quelques pistes pour PJs neuneus pas capables de se débrouiller tous seuls : se balader dans les rues en espérant croiser, par hasard, une fourgonnette de lasociété; demander de l'aide sur le réseau des Adeptes du Virtuel ; égorger un pauvre petit chat noir en psalmodiant des cantiques barbares (je ne vise personne, ceci dit les Verbenas sont rien que des bouchers, d'abord) ; ouvrir 'aléatoirement' un bottin de la ville et pointer une adresse (n'importe laquelle de préférence. (...)
Si tout ça, ça marche pas, eh bien c'est le moment de faire jouer les connaissances : au fait les gars, l'oncle Henri, il est bien détective privé à Phoenix, non ? LasociétéI.M.A. (International Mind Agency) est unesociétébidon financée directement par le Nouvel Ordre Mondial. Officiellement l'I.M.A. est unesociétéde conseil aux entreprises (de conseil en quoi je vous le demande ? Ben j'en sais rien, de conseil). (...)
Christopher Ellwor (si vous ne vous êtes toujours pas rendu compte que son nom était l'anagramme d'Orwell, je peux plus rien pour vous), dirige cettesociétéd'une main de fer. Au moment où les PJs arrivent à Phoenix, ce dernier est au courant (cf le niveau qu'il a dans les différentes sphères magyques) de ce qui s'est passé à San Poldar. (...)
Autant dire qu'il sera sur ses gardes et se démerdera pour que les gentils joueurs tombent bien comme il faut dans le piège qu'il va leur tendre, ark, ark, ark ! TechnoCenter Building... You can run but you can't hide. Comme je n'arrête pas de le répéter, lasociétéI.M.A. est située à Phoenix, au troisième étage du TechnoCenter Building. Mes PJs sont entrés comme des bourrins à la nuit tombée. (...)