Cil
sur La Page à Papat
Cette nouvelle de Cugel L'Astucieux, intitulée CIL, se situe aprés le chapitre , 'Le monde Supèrieur'. Lugubre et languissante, la nuit s'avançait sur les terres en friche du septentrion comme le sang qui s'écoule d'un animal à l'agonie. Le crépuscule surprit Cugel alors qu'il traversait péniblement un marais salant. Dans la sombre lumière rouge de l'aprês-midi, il s'était égaré, il avait d'abord gravi une pente douce, puis rencontré un sol humide avant de s'enfoncer dans un terrain spongieux ...Contient : bateau (2), bâteau(...) - Il n'y a qu'une route possible, par les terres qui s'étendent au sud et à l'est. Qu'importe si l'océan offre une voie plus directe ? Il n'y a pas debateaudisponible et on ne peut couvrir à la nage une si grande distance ! Firx se manifesta par de brefs tiraillements mais laissa finalement Cugel poursuivre sa marche vers l'est. (...)
Le dernier de la série, dans l'ombre du jour finissant, représentait une jeune femme. Cugel s'arrêta brusquement. C'était la fille aubateauqui marchait, celle-là même qu'il avait rencontrée dans les terres du nord : Derwe Coreme de la famille des Domber, maîtresse de Cil ! (...)
- Ainsi, vous attribuez une couleur à l'âme. - Tout à fait. C'est un don de naissance que m'a fait une sorcière, la même qui m'a offert monbâteau-qui-marche. Elle est morte depuis et je suis seule sans le moindre ami ni personne qui ait de l'affection pour moi. (...)