Extraits d'Investigations au XIXème Siècle
sur Les Editions sans Détour au format (8.5 Mo)
Contient : hommes (9)(...) Horreur, mystère : voilà donc ce que nous évoque spontanément cette période, à côté des fiacres, deshommesen hauts-de-forme et des dames revêtues de larges robes s'abritant sous leur ombrelle. Voilà, aussi, ce qui caractérise bien d'autres oeuvres publiées alors, ces mêmes oeuvres qui nourrirent l'imaginaire d'Howard Phillips Lovecraft : celles d'Arthur Machen et de William Hope Hodgson, dont il a reconnu l'influence, celles de Montague Rhodes James, auteur d'histoires de fantômes dont il a salué le « pouvoir presque diabolique pour appeler l'horreur à pas feutrés à partir de la vie prosaïque de tous les jours » (Epouvante et surnaturel en littérature). (...)
Cependant, même ensuite, il demeure difficile de progresser dans la hiérarchie. L'armée britannique, composée uniquement de volontaires, compte surtout deshommesissus des classes sociales inférieures, dont beaucoup d'Irlandais. Par ailleurs, bien que l'Angleterre soit alors la nation la plus puissante du globe, ses troupes sont plus à même de combattre des ennemis faiblement armés et mal organisés que d'affronter leurs équivalents étrangers. (...)
Après les réformes de Childers, presque tous les régiments d'infanterie sont composés de deux bataillons de troupes régulières, plus deux de miliciens. Chacun compte environ de 750 à 1 000hommeset est commandé soit par un lieutenant-colonel, avec un major comme second, soit par un colonel à part entière, assisté par un lieutenant-colonel. (...)
Comme les bataillons sont généralement déployés de façon complètement indépendante, il est rare d'en trouver deux issus du même régiment combattant dans une même région, mais cela arrive parfois, par hasard. Chaque bataillon est à son tour divisé en 6 à 8 compagnies composées chacune de 100 à 120hommes, dirigées par un major ou un capitaine, lequel est assisté par un lieutenant, un sous-lieutenant, et un ou plusieurs sousofficiers (sergents). (...)
Les régiments de cavalerie sont légèrement plus petits que leurs équivalents d'infanterie, et sont déployés en entier, sans division en bataillons. Un régiment de cavalerie de 500hommesest composé de quatre escadrons, Les Investigateurs victoriens 88 Dossier : L'armée britannique Les Investigateurs victoriens 118 Documents sur la mode masculine • 1869. (...)
Wells Publiée en 1896, L'Ile du docteur Moreau raconte l'histoire d'Edward Prendick, seul rescapé d'un naufrage qui, parvenu sur une île tropicale du Pacifique, est terrifié par les horribles expériences auxquelles se livre le docteur Moreau : adepte de la vivisection, ambitionnant de donner naissance à une race parfaite, ce scientifique, à force de greffes et d'opérations diverses pratiquées sur des animaux, est parvenu à créer des hybrides mi-hommes, mi-bêtes à qui il tente d'imposer sa loi. Le docteur Moreau Brillant scientifique forcé de quitter la Grande-Bretagne à cause de ses horribles expériences de vivisection, le docteur Moreau s'est installé sur une île tropicale reculée de l'océan Pacifique, où il continue à combiner la génétique et les corps humains et animaux, dans le but de créer la race « humaine » ultime. (...)
» Challenger défie les attentes de ceux qui l'entourent avec des intuitions brutales, une imagination caustique et un intellect sans pareil : peu d'hommesauraient pu déduire que la fin du monde était arrivée, imaginer un moyen d'y assister puis survivre pour le raconter, comme Challenger le fait dans La Ceinture empoisonnée. (...)
Bien qu'il soit d'humeur changeante, Nemo est un érudit brillant, qui a étudié à New York, Londres et Paris avant de tourner le dos au monde deshommes. Phileas Fogg Phileas Fogg est un riche excentrique londonien. Il est impassible, froid et logique, obsédé par l'ordre et la ponctualité. (...)
L'air chaud serait sans danger, mais il est infiniment moins efficace que l'hydrogène. L'hélium dépasse les capacités techniques deshommesdu XIXe siècle. La technologie de l'hydrogène est considérée comme sûre, moyennant quelques précautions. (...)Préface : Quand on pense à l'époque victorienne, des noms viennent immédiatement à l'esprit. Celui de Jack l'Éventreur, qui perpétra ses atroces méfaits dans les rues sordides et embrumées de Whitechapel. Ceux, aussi, de Sherlock Holmes et de Dracula, le plus célèbre des détectives et le plus fameux des vampires, nés sous les plumes respectives d'Arthur Conan Doyle et de Bram Stoker. Horreur, mystère : voilà donc ce que nous évoque spontanément cette période, à côté des fiacres, des hommes ...