Extraits de Londres au XIXème siècle
sur Les Editions sans Détour au format (28.5 Mo)
Contient : banque (4)(...) En son centre, la City abrite à la fois des édifices voués aux activités économiques et commerciales, telles la Bourse ou laBanqued'Angleterre, et des monuments historiques parmi lesquels la cathédrale Saint-Paul, la Tour de Londres ou du Temple. (...)
Pièces d'or • Le souverain (sovereign) : il vaut une livre sterling, soit 25 francs • Le demi-souverain (half a sovereign) : il vaut 10 shillings, soit 12 francs 50 Pièces d'argent • La couronne (crown) : elle vaut un quart de livre ou 5 shillings, soit 6 francs 25 • Le double florin : cette pièce rare vaut 4 shillings, soit 5 francs • La demi-couronne (half-crown) : elle vaut 2 shillings et demi, soit 3 francs 25 • Le florin : il vaut 1/10 de livre ou 2 shillings, soit 2 francs 50 • Le shilling : il vaut 1/20 de livre ou 12 pence, soit 1 franc 25 • Le sixpence : il vaut un demi-shilling, soit 62 centimes et demi • Le fourpence : il vaut 4 pence ou un tiers de shilling, soit 41 centimes et demi • Le threepence : il vaut 3 pence ou un quart de shilling, soit 31 centimes ¼ 160 Pièces de bronze • Le penny : il vaut 1/12 de shilling, soit 10 centimes • L'half-penny : il vaut un demi-penny, soit 5 centimes • Le farthing : il vaut un quart de penny, soit 2,5 centimes Billets debanqueet chèques La Bank of England émet des billets, les plus courants étant ceux de 5, 10, 20 et 50 livres. (...)
De surcroît, il est recommandé de noter les numéros des billets que l'on possède : ainsi, en cas de perte ou de vol, on pourra faire opposition à leur paiement à laBanqued'Angleterre, s'ils y sont présentés. Enfin, il est possible d'employer les chèques de bonnes maisons debanque, par exemple ceux du Crédit lyonnais pour les Français. Changer de l'argent Si l'on amène des devises étrangères en Angleterre, elles ne seront acceptées nulle part. (...)Préface : Le Londres victorien ne laisse pas indifférent ceux qui le visitent, c'est même tout le contraire : certains le considèrent comme la « Reine des cités », d'autres comme une « Ville monstre » ; Victor Hugo voit en lui la « Babylone noire » et Pierre Larousse, « le premier marché de l'univers ». Contrastées sinon contradictoires, ces opinions n'en sont pas moins toutes fondées, car elles sont le reflet d'une caractéristique frappante de la capitale britannique : elle offre en effet ...