Monstres d'Utilité Publique
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Contient : groupe (14)(...) , afin de préserver de toute atteinte le programme originel du « purity-control » : une gigantesque opération de catalogage et de fichage de la population américaine mené dans le but de faciliter la colonisation de la planète par les E.B.E. Les ramifications dugroupedépassèrent lentement le cadre des frontières nationales, et ses membres étaient soudés par un seul objectif : collaborer au plan d'invasion Extra-Terrestre, afin d'éviter que toute l'humanité ne disparaisse, tout du moins dans l'espoir qu'eux-mêmes et leurs familles puissent survivre à la colonisation... Pour ces hommes, une absence de défaite était considéré comme une victoire... En 1990, la situation fut telle que le « Consortium » cessa de s'engager auprès d'un quelconque gouvernement, et devint une entité autonome, dans laquelle un homme possédait le plus d'influence : Conrad S. (...)
Les démentis officiels quant aux témoignages d'apparitions d'OVNIS et d'enlèvements, de phénomènes étranges, émanaient du Département d'Etat, et les grandes agences nationales de sécurité (FBI, CIA, NSA, Pentagone...) étaient autant d'appuis possibles pour cegroupedont les ramifications gangrènent actuellement tout l'appareil d'Etat. LE PROJET : Les membres du « Consortium » décidèrent de participer au « Projet » de colonisation de la planète par les extra-terrestres dès qu'ils en prirent connaissance. (...)
Les aliens livrèrent au « Syndicat » un foetus extra-terrestre congelé, afin que les scientifiques dugroupe, tels que Viktor Klemper ou le docteur Berube, puissent élaborer un hybride humain et extra-terrestre (grâce en grande partie aux connaissances des savants nazis dans les domaines de l'hybridation). (...)
De leur côté, les aliens étaient capables de créer des hybrides clonés, mais étaient incapables de transformer un être humain en hybride, expliquant leur besoin d'ungrouped'humains collaborant avec eux. Le deuxième versant du « Projet » concerne la mise en place des vecteurs du virus destiné à détruire la plus grande partie de l'humanité. (...)
Il est aisée de débloquer le mécanisme, et les PJs pourront trouver : ==> Un listing de noms de personnes appartenant à l'annexe d'ALLENTON dugroupeMUFON (ou MUTUAL UFO NETWORK, l'un des grandsgroupestructuré d'ufologues des Etats-Unis). Le nom de RUPPERT LYLLIARD y figure, entouré, ainsi que celui d'une certaine BETSY HAGOPIAN. Une vingtaine d'autres noms suivent, mais ne sont pas entourés. (...)
Si les PJs parlent de la tentative de meurtre sur la personne de RUPPERT LYLLIARD (le vidéaste), tout legroupesemble choqué. Après vérification, ces femmes sont toutes celles qui apparaissent sur la liste contenue dans la valise de l'asiatique. (...)
S'ils demandent qui est BETSY HAGOPIAN, la femme qui les a reçu explique aux enquêteurs que BETSY est morte depuis 4 ans, suite à n cancer généralisé. Depuis sa mort, et suite à son testament, sa demeure sert aux réunions dugroupeMUFON d'ALLENTON. Il apparaît également que RUPPERT LYLLIARD, le seul homme dugroupe, servait de « trait d'union » entre la cellule locale et le MUFON à l'échelon national (via Internet surtout). Au sujet de la K7 et de l'autopsie, il apparaît que RUPPERT en a brièvement parlé en expliquant qu'il s'agissait de quelque chose d'énorme, de la 1ere vraie autopsie d'alien... Pourtant, ces femmes ne semblent pas en être émues, comme si elle admettaient cela comme allant de soi... En poussant plus loin la conversation, les Ps apprennent que toutes ces femmes réunies dans la cellule d'ALLENTON se prétendent victimes d'enlèvements extra-terrestres ! (...)
L'hôtesse, qui se présente sous le nom de LOTTIE HOLLOWAY, déclare que c'est ce type d'implant qui a provoqué le cancer foudroyant qui a tué BETSY HAGOPIAN voilà 4 ans... Voilà tout ce que legroupepeut offrir aux PJs. Ce femmes semblent réellement craindre d'être à nouveau victimes d'enlèvements, ce qui explique qu'elles se soient placées sous la surveillance du MUFON en se réunissant dans la cellule d'ALLENTON. (...)
Il lancera un dernier regard assassin aux PJs avant de disparaître... LES PHOTOS SATELLITES : Elles doivent être confiées à un spécialiste pour être interprétées. Peut-être que les PJs ont eu l'occasion d'avoir affaire aux « BANDITS SOLITAIRES », ungroupede passionnés des théories de conspirations qui sévissent dans la banlieue de WASHINGTON D.C. et publient un journal portant le nom de leurgroupe, le sus-dit journal colportant à tout va des dizaines de théories toutes plus farfelues les unes que les autres ! (...)
Frohike, Langly et Byers, les « BANDITS SOLITAIRES », du nom de leur journal ressassant les theories de complot les plus insolites...) Voici une brève description des membres de cegroupe: LANGLY porte de grosses lunettes en écailles, de long cheveux, est non rasé, portant un T-shirt noir. (...)
Un autre homme nommé BYERS, coupe nette, moustache et barbe, costume-cravate, se tient toujours dans un coin et écoute avec attention. Le troisième homme, nommé FROHIKE, petit et ayant l'air d'un sale type, prend une photo dugroupetout en déblatérant toute une tripotée de théories toutes plus fumeuses les unes que les autres. (...)Le scénario « Monstres d'Utilité Publique » peut être joué par une équipe de 3 à 5 PJs. Peu importe le niveau ou l'origine professionnelle des PJs, mais il serait commode qu'au moins l'un d'entre eux appartienne à la Police ou à une Agence Gouvernementale. LE BACKGROUND : LE CAMP 731 : Pendant la Seconde Guerre Mondiale, l'armée Japonaise utilisa, comme toutes les nations industrielles impliquées dans ce conflit, des centaines de scientifiques qui furent mis au travail sur des domaines allant ...