L'Oeuf de Vallerance
sur Les Arpenteurs de Mondes au format
Contient : lieux (12)(...) Synopsis : Cette première étape dans le conte de cette pièce prend place à Lorgol, capitale du Royaume Urguemand, ville cosmopolite et tentaculaire coiffée du gigantesque Souffre-Jour qui étend ses racines des Milles-Tours aux Bas-Quartiers. Bien entendu leslieux, renseignement géographiques et noms de bâtiments ou de quartiers seront volontairement évasifs ou imaginaires afin de vous permettre chers confrères, de replacer l'action dans un autre lieu, sans grande modification. (...)
Les miliciens semblent paniquer, ne savent ou donner de la tête et font visiblement tout pour cacher leslieuxaux riverains. Une personne charismatique et rassurante arrive néanmoins à les convaincre de laisser passer les Inspirés. De plus s'ils se disent ami du propriétaire deslieuxou membres d'une organisation influente, leur entrée sera facilitée. Un fin psychologue remarquera même le soulagement du Sergent des miliciens. (...)
Il se présentera aux Inspirés comme le représentant des autorités locales et les interrogera longuement sur la victime ainsi que le motif de leur présence sur leslieux. Si les inspirés sont suffisamment malins, ils peuvent profiter du désarroi du jeune homme pour s'occuper de l'enquête. (...)
Bien entendu, il demande à être tenu informé de l'avancée des investigations et toute action devra être soumise à son approbation. Une fois cette entrevue terminée, les inspirés peuvent à loisir inspecter leslieux. Ils en retirent les indices suivant : * Il a hérité de cette demeure il y a 5 ans suite au décès d'un lointain cousin. (...)
A vrai dire les témoignages sont rares. Les gens de ce quartier aiment la tranquillité et ils regardent leslieuxdu drame avec méfiance et agressivité. La majorité des personnes en vont de leurs remarques acerbes. (...)
Fait important, Esperenzo Vequiez a reçu la visite de l'homme hier soir ; il transportait un colis apparemment précieux. L'enquête sur leslieuxdu crime touche ainsi à sa fin. Les inspirés se rendent compte qu'ils ont fait le tour et qu'il est temps pour eux de choisir une piste à explorer. (...)
Comment renvoyer un renégat aux Abysses sans que l'Ombre ne s'en aperçoive ? Bibliothèques occultes, Frères des Cendres,lieuxde rencontre clandestins firent l'objet des visites d'Esperenzo. Jusqu'à, il y a deux jours, où, dépité, il tenta le tout pour le tout. (...)
Le hululement d'un rapace nocturne leur rappelle que les cimetières ne sont pas les endroits déserts que l'on croit. Quelques feux follets s'échappent d'une tombe renforçant l'ambiance spectrale deslieux. Un jet de Per diff 18 permet de voir une créature de forte stature nichée sur le point haut d'une tombe, à une dizaine de mètres de la sortie que les inspirés viennent d'emprunter. (...)
Rencontre nocturne et chant funèbre : L'air est particulièrement cru ce soir. L'eau gèle et forme des stalactites qui s'accrochent au-dessus du vide donnant auxlieuxcette impression que l'ambiance n'est pas tout à fait réelle. Les musiciens sont installés sur leur chaise, en tout cas si les inspirés ont pensé à les engager. (...)
Il tient serré dans ses bras un oeuf totalement noir, qui semble avaler la lumière déjà faible, qui beigne leslieux. Quelques brèches sont visibles sur l'oeuf qui laissent apparaître quelques traits de lumière. (...)
Puis le silence, à peine troublé par le hululement sinistre d'un Faillence à l'agonie. Les Inspirés peuvent se rapprocher deslieux. S'ils sont discrets ils peuvent assister à la scène suivante. Sur une placette engoncée entre plusieurs tours, Faillence est acculé dans un coin, une épée ténébreuse enfoncée dans son flanc. (...)Pièce en 3 Actes pour Agone. Au premier jour de sa révélation, mon Maître ne ressemblait plus en rien au maigre conjurateur que j'avais connu une vingtaine d'années auparavant. Je me souviens encore de cette première fois ou m'étais apparu son visage, sorte de peau tendue sur une armature métallique faite d'angles vifs. Son regard noir mais bienveillant dardait sur moi des rayons de curiosité. Chaque parcelle de mon être était offerte à sa critique, à son approbation, comme le ferait le peintre ...