Le Jour où je suis mort
sur Pénombre au format (14 Ko)
«Vous allez bien, Togashi-sama ?» Je secoue la tête et ma vision brouillée par la douleur s'éclaircit. Mirumoto Daiori me regarde, soucieux. Son armure de guerre n'est plus qu'une ruine, une parodie de ce qu'elle était. Mais sa main tient fermement le katana souillé jusqu'à la garde de sang rouge, noir, vert... toutes les teintes de toutes les corruptions. 'Oui, je vais bien.... L'ogre ?' Le jeune bushi fait un imperceptible signe de tête et je me retourne. La dépouille du monstre git à quelques ...Contient : armures(...) Les oni sont les plus voyants de nos adversaires mais, et cela ne peut que nous réjouir, ils ne sont pas les plus nombreux. Nous avons presque autant à redouter de ceux qui portent encore lesarmuresdu Lion ou du Crabe mais qui n'ont plus rien à voir avec leurs anciennes allégeances. Fort heureusement, la plupart n'ont pas encore acquis une expérience comparable à celle des esprits venus du Jigoku. (...)