Organisation : Les Psycholunes
sur Souffre Jour au format (3.3 Mo)
Contient : maladie (4)(...) En 1299 Luciel, à l'agonie, retrouva toutefois à son tour l'emplacement de l'Orbe, autour duquel poussait à présent un gigantesque arbre ténébreux. Il s'aperçut que l'Arbre avait le pouvoir de le préserver des atteintes de lamaladieet que ses branches s'ouvraient devant lui et l'acceptaient. Avec une poignée de fidèles, il fonda le Collège du Souffre-Jour et se mit au service de son Principal : Diurne lui-même. (...)
Une autre tradition veut que l'on puisse lire sans risque les ouvrages infestés de ces créatures si l'on porte des besicles dont les reflets sur les verres abriteraient une Lueur. Le Maljour est unemaladieperfide, au même titre que la Mort Lente. Elle est principalement colportée par une sorte de guêpe, parfois nommée Trouble-Tête, Frelon du Sage, ou Mouche-à-Science. (...)
La piqûre est peu douloureuse mais peut inoculer le Maljour. La mise en contact d'une plaie avec les brûlures d'une victime de lamaladiepeut générer une contamination, mais ce cas de figure est assez rare mais bien qu'il semble issu du venin des Trouble-Tête, le Maljour est bien unemaladie. Le Maljour : Virulence : 20. Périodicité : 15 jours. Rareté : 22. A 5 points de gravité, la peau du malade se couvre de plaques rouges, brûlantes et douloureuses, assez semblables à des " coups de soleil " qui ne guérissent pas. (...)Une Histoire des psycholunes : Les origines : " En 1050, une jeune Itinérante de Préceptorale, Héliame de Douceîruine, visite une chapelle de son domaine familial, le petit fief de son père, le Vicaire Oldrof-le- Vieil. Une superstition locale veut que dans cette chapelle, à midi au plein coeur de l'été, quiconque se regarde dans un miroir cerclé d'ivoire placé entre deux bougie y voit apparaître l'âme soeur qui lui est destinée. Héliame, maudissant son tempérament romantique ...