Le Felorn [pluriel : Felorns]
sur Gobz'Ink au format (1.3 Mo)
Contient : ailes (4), ailés(...) Celui qui, bientôt père, n'osait broncher de peur de représailles, vit dans le défi une chance : c'est auprès de sa compagne qu'il se rendit pour se servir de la plume. Une magnifique portée de chatons auxailesde chair et de fourrure naquit, empreints d'une once des pouvoirs de leur marraine la Muse. Il s'est avéré que depuis, l'accouplement d'un chat et d'un felorn ne donne naissance qu'à des enfants enchantés. (...)
Apparence : En tous points semblables à des chats domestiques dans leur partie féline, les felorns possèdent, en plus d'une grâce aérienne, une paire d'ailesde fourrure aux reflets roux orangés. Le phénomène harmonique lié est un ralentissement du temps qui conduit l'entourage de la créature à vivre plus lentement que le reste du monde, mais aussi plus longtemps. (...)
Moeurs : Flegmatique, le felorn a tendance à se mouvoir lentement et avec le moins de gestes possibles. Pourtant, en cas de danger, sa très grande agilité, couplée à sesaileset à son don de prévoyance, en font une cible insaisissable. Sa fainéantise n'atteint pas sa langue : bavard comme une pie, c'est là sans doute le seul défaut que leur reconnaissent les bibliothécaires. (...)
Parfois, certaines les étudient, tentant à l'extrême des expériences mortelles pour voir si leur pouvoir d'absorption des connaissances ne pourrait être compatible avec leurs Mémoires. CARACTERISTIQUES : Ecrin : 9 (les plumes desailes). TAI : -2 MV : 4 (au sol)/9 (en vol). Caractéristiques : RES 3, FOR 2, AGI 12, PER 11 CHA : 7, CRE : 7. (...)
Si la Dame ailée était encore vivante, elle se verrait affublée du même malus pour en appeler aux cygnes. Cette création est librement inspirée des chat-ailésde l'oeuvre Les Enchantement d'Ambremer de Pierre Pevel et prend le même nom que les créatures mystérieuses du jeu de rôle Rêve de Dragon. (...)Origine : Ne pouvant se résoudre à voir disparaître de l'Harmonde une excellence qu'elle chérissait, Stance choisit d'enchanter de son essence une race animale. Elle souffla sur des plumes Simurgh (cf. Le Violon de l'Automne p.106), convia plusieurs Maestres et leur offrit chacun une plume et une promesse : celui qui trouverait une mère porteuse le plus rapidement verrait la naissance d'enfants enchantés et bénis par elle. Tous les Maestres venus au rendez-vous se précipitèrent. ...