Les labyrinthes de la douleur
sur The Case of Kimble au format (178 Ko)
Contient : téléphone (6)(...) Informations destinées aux joueurs. Un matin d'août 1925, un des Pjs (de préférence un détective privé) est contacté, partéléphone, par une femme à la voix tremblante qui souhaiterait rencontrer le Pj et son équipe, à propos d'une disparition. (...)
elle est morte, il y a 5 ans...Aussi surprenant que cela puisse paraître, je vous demande de la retrouver...car je croyais l'avoir perdu à tout jamais jusqu'à hier...J'étais tranquillement installé, en regardant l'album photo familial quand letéléphonesonna...Lorsque je décrochai le combiné, je croyais à une blague mais c'était ma petite Christie. (...)
les PJs peuvent apercevoir des larmes lui monter aux yeux ...elle ne pouvait pas parler longtemps car ils allaient revenir et que s'ils la trouvaient autéléphone, ils allaient la tuer, elle me supplia d'aller la chercher à la villa des Carter mais sans appeler la police car il la tuerai sans doute...puis la ligne fut coupé... » Les Pjs, en questionnant Vicky Preston, peuvent apprendre sur : - ses relations : si dans son entourage elle possède des ennemis, si elle a reçu des menaces etc. (...)
Quand les Pjs le rencontre, le docteur est très nerveux. Si on le questionne à propos de la chaussure, il dira que la commande a été uniquement passée partéléphoneet qu'il a eu à faire à une personne dont l'accent allemand était surjoué. Il a du livrer la commande à la villa des Carter, sans poser de questions au risque de représailles mortelles. (...)
Ils recevront une liste de noms, et s'apercevront qu'en plus de la petite Christie, un autre enfant ayant le même problème est né à Arkham. Il s'agirait de Judith Seaton aucun numéro detéléphonen'est mis à disposition, seule une adresse 267 appart 6 E Church Street. En s'y rendant sur place, on découvre un vieux immeuble de 3 étages. (...)
En se rendant au siège de l'Adverstiser, le rédacteur les accueille froidement, il ne laisse pas le temps aux Pjs de parler, il les prend dans son bureau, et dit : « Je vais être bref, j'ai horreur des plaisanteries, si j'ai eu votre numéro madame , c'est que j'ai reçu une enveloppe avec votre numéro detéléphoneinscrit dessus, et à l'intérieur de cette enveloppe se trouvait des clichés pas très catholiques. (...)Le spiritisme et tout ses dérivés étaient très en vogue au début du siècle, d'ailleurs de nombreux cercles ésotériques furent crées à Londres, la capitale du monde... C'est dans cette ville, en 1902, que Charles Gales, médecin de bonne famille y goûta pour la première fois. Ces petites séances lui permettaient de souffler, de décompresser et un peu d'oublier ses nombreuses heures de travail. Là, il se prit d'amitié avec Santini, un petit scientifique de Liverpool. Très vite, ils y tissèrent ...