Or et Argent
sur Daiklave au format (127 Ko)
Le scénario vise un seul joueur et sert à faire jouer l'exaltation d'un jeune solaire (un aube canoniquement). Le héros est donc un jeune humain, qui ne devrait pas avoir de caractéristiques d'humain héroïque, mais de simple mortel. Le scénario a pour but de faire prendre conscience au joueur de l'importance de l'exaltation et du changement que cela opère pour son personnage, tout en lui présentant le monde tel qu'un mortel le voit et le connaît. Le scénario ne regorge pas de fiches de ...Contient : esprits (4)(...) Les tribus sont regroupées en familles nombreuses, selon des règles et tabous stricts, donnés par des chamanes, qui sont les voix des totems etespritsenvers la tribu. Il a été adopté par le chef du clan, Ulick, qui l'a pris comme son propre fils, et élevé selon les rites de la tribu. (...)
L'apprentissage devient différent, les armes deviennent primordiales, ainsi que la chasse, l'explication desespritsanimaux totems qui protégent le clan, les soins aux animaux, la méfiance vis-à-vis du Beau Peuple ainsi que les confrontations guerrières avec les autres clans ou les raids contre les villages. (...)
Les chefs rassemblent leurs hommes et faire face à la menace et les chamanes peinturlurés gesticulent autour du totem de bois et d´os, appelant la protection desespritsanimaux. Le pj se retrouve aux cotés de son père, prêt à l'épauler comme à chaque combat. La meute de créatures se rassemble en hurlant, comme si elle pouvait s'organiser et les encercler de façon méthodique et intelligente. (...)
Plusieurs lancent des regards lourds de sous entendus et de colère dans la direction du pj, comme s´il était encore le responsable de ce désastre ; d'autres font le signe de conjurer le mauvais sort, appelant l´espritsprotecteur de la tribu. A grandes enjambées inhumaines et a la vitesse prodigieuse, les hommes bêtes bondissent soudain en avant dans la direction des hommes, se précipitant avec une sauvagerie des plus bestiale, les flèches et javelines décochées par les hommes ne les ralentissant qu'à peine. (...)