Exemples de communautés – ou de personnages - vivant
dans la France de 2037sur Vermine au format (38 Ko)
William « Tubard » Stanfield. Nombre : 1. Organisation : / Hiérarchie : / Mode de vie : Nomade. Bref historique : William Stanfield est un américain de 65 ans originaire de Las Vegas. Issu d'une famille très aisée, il se trouvait en France en voyage de tourisme avec sa femme lors du début de la révolte de la nature. Il espérait rentrer aux Etats-Unis dès que la situation se serait tassée. Malheureusement c'est l'apocalypse qui a eu lieu. Doté d'une constitution robuste et d'un brin de chance ...Contient : tribu (17)(...) Hiérarchie : 1 chef « le protecteur » et un conseil de 6 hommes « les anciens » dirigent la communauté et prennent les décisions. Mode de vie : Sédentaire. Bref historique : Latribudes Boka est une communauté fondée en 2018 par un scientifique écoeuré par l'espèce humaine nommé Hervé ARNOT, au coeur d'un territoire d'une centaine d'hectares très particulier ; en effet, il y règne un climat tropical du fait de l'activité souterraine magmatique d'un volcan partiellement réveillé. (...)
Hervé ARNOT, qui s'est imposé comme le chef naturel de la communauté et que l'on n'appelle plus que sous le surnom du « protecteur », voulant rompre avec une humanité qu'il exècre, a fait renoncer latribuà la technologie, et ils vivent dans une autarcie primitive, chassant à l'arc et à la lance leur nourriture et pratiquant une agriculture tout aussi rudimentaire. Il a également développé un fort mysticisme au sein de latribu, vénérant les esprits de la nature et tout particulièrement Boka, l'esprit du volcan qui protège latribu. Les jeunes de latribusont élevés dans la crainte de l'extérieur. Les Bokas ne s'éloignent de leur territoire que pour chasser. Dans latribu, seuls les survivants des colons originels (les six anciens) savent pour la guêpe tueuse et le vaccin (qui doit être renouvelé tous les cinq ans). Le protecteur prodigue secrètement le vaccin aux autres membres de latribulors d'une cérémonie spéciale ; il a dernièrement fait part du grand secret de latribuà une jeune fille de 19 ans (qui fut la première à être née dans la communauté) nommée Rowena, et qu'il destine à sa succession à la tête de latribu. Attitude : Les Bokas réagiront violemment à tout ce qu'ils considèreront comme une menace pour leurtribu. Difficiles à amadouer sur leur territoire, ils fuient les humains quand ils les rencontrent hors de leurs terres pendant leurs chasses...sauf cas exceptionnel... Matériel possédé : La grande majorité des membres de latribus'est débarrassée de toute possession « technologique » en entrant dans la communauté (souvent pour en faire d'étranges trophées qui trônent aux frontières du territoire des Bokas pour dissuader les éventuels visiteurs), et ne possèdent que des outils rudimentaires. Pourtant, le protecteur a gardé un matériel scientifique et médical datant de son passé de scientifique...matériel qui lui sert à fabriquer le précieux vaccin et divers breuvages et qu'il cache bien évidemment au reste de latribu. But et motivations : Le protecteur ne veut que le bien des membres de satribuet la pérennité de celle-ci. Certains jeunes membres sont curieux du monde extérieur, mais en ont souvent une telle frousse qu'ils abandonnent le projet de s'y aventurer. Les « hommes des carcasses » ou « le gang des carcasses ». Nombre : 25. (...)
Les doloristes. Nombre : 32. Organisation : Tribale. Hiérarchie : 1 Chaman « le maître de douleur » dirige latribu. Mode de vie : Nomade. Bref historique : Samuel Raulin n'était qu'un enfant lors de l'effondrement de l'espèce humaine. (...)
Son charisme certain lui permit de réunir atour de lui quelques fidèles, avec lesquels il arpente les routes, toujours prêt à distribuer sa bonne parole. Pour rentrer dans latribudes doloristes, il faut passer plusieurs épreuves initiatiques visant à tester la résistance du sujet à la douleur. (...)
Sinon, il doit le mieux possible résister à la douloureuse -mais normalement sans danger- morsure. La troisième, qui détermine l'entrée dans latribuconsiste à faire enfiler au sujet un gant un peu spécial ; constitué de fibres végétales tressées, y ont été insérées abdomen coincé vers l'intérieur du gant une bonne centaine de fourmis de taille normale (15 mm), à la piqûre extrêmement douloureuse faisant l'effet d'un coup de marteau. (...)
Ils possèdent de grands paniers d'osier dans lesquels sont contenus les espèces venimeuses servant pour leurs expériences de résistance à la douleur. Latribupossède aussi 4 chiens qui es aident pour la chasse. Buts et motivations : pour cette bande d'illuminés, la douleur est la seule voie. (...)