Traditions & Us et coutumes médiévales Japonaises
sur Terres Mythiques
Contient : kimono (6)Traditions & Us et coutumes médiévales Japonaises Le Mon : est l'équivalent occidental du blason. Il est mis sur les armures des guerriers et sur lekimonodes vassaux de la famille. Sur les champs de bataille, les guerriers ont toujours des drapeaux dans leur dos pour montrer son appartenance et éviter la confusion. (...)
En pratique, les gens riches trouvaient toujours des moyens de dépenser leur argent sans attirer l'attention du gou-vernement. Un otokodate pouvait porter unkimonode coton vert, avec une fine bordure de soie rouge cerise. Aux époques difficiles, le gouvernement se servit des lois somptuaires pour diriger la colère du peuple sur les riches marchands et, en particulier, les prêteurs sur gages. (...)
Il arrive parfois, mais très rarement, que le fiancé en puissance ait pu apercevoir une silhouette, ou plutôt unkimonoaux couleurs tendres pour lequel son coeur a battu un peu plus vite. Avec ou sans intermédiaire, le premier acte du jeu amoureux est épistolaire : le prétendant adresse à la jeune fille une lettre soigneusement calligraphiée où il exprime, le plus souvent en termes très conventionnels - comment faire autrement quand on ignore à qui on s'adresse - les sentiments qui l'agitent. (...)
Les paysannes portaient quant à elles un costume qui n'a que très peu changé si on le compare au costume japonais traditionnel d'aujourd'hui : unkimonodont les pans sont croisés et retenus à la taille par une ceinture ; parfois quand il y avait lieu de protéger lekimono, on enfilait une sort de jupe que l'on fixait à la ceinture. Pour travailler aux champs, homme et femmes, lorsque le soleil était ardent, réduisaient au maximum leur costume et travaillaient torse nu. (...)
Avec un goût très sûr et un sens de l'esthétique bien propre à cette nation dont les plus grands peintres ne répugnèrent jamais à tracer de quelques coups de pinceaux le vol d'un oiseau ou les branches tourmentées d'un pin sur lekimonode soie fine d'un dignitaire de la cour. Voici par exemple ce que fut le costume d'un dignitaire japonais du XIIème siècle - un édit datant de 1212 fut tout spécialement promulgué pour définir en détail les normes de ces tenues de cérémonie. (...)Le Mon : est l'équivalent occidental du blason. Il est mis sur les armures des guerriers et sur le kimono des vassaux de la famille. Sur les champs de bataille, les guerriers ont toujours des drapeaux dans leur dos pour montrer son appartenance et éviter la confusion. De bonnes manières : L'haleine : les gens polis ne souillent pas de leur haleine les personnes d'un rang supérieur au leur. Il en va de même des femmes vis à vis des hommes. C'est pourquoi les japonais ...