Traditions & Us et coutumes médiévales Japonaises
sur Terres Mythiques
Contient : tête (9)(...) Contempler les têtes : Les Japonais ont un mot pour désigner les têtes fraîchement coupées: ils les appellent Nantakubi. Dans les batailles importantes, un samouraï peut couper latêted'un ennemi célèbre. Il la plante sur son kozuken (un petit couteau qu'il garde dans le fourreau de son katana) et va la montrer à son général (de cette façon, il ne touche pas latêtedirectement et n'est donc pas souillé par le sang. Il n'aura pas besoin d'aller se purifier dans un sanctuaire shinto). (...)
On les montre par la suite à leurs partisans ou à leurs proches pour les convaincre qu'ils sont bien morts. Cette coutume impose aux samouraïs de prendre un soin tout particulier de leurtêteavant une bataille. Ils parfument leurs cheveux avec de l'encens, noircissent leurs dents ou les brossent soigneusement pour s'assurer qu'elles seront blanches et pas jaunes. Beaucoup de jeunes samouraïs, craignant qu'après leur mort on ne con f onde leurtêteavec celle d'une femme, se laissent pousser la moustache. Comme le dit une chanson enfantine "Mon voisin Senmatsu était à la guerre d'Omi. Un an passa et il ne revint pas. Deux ans passèrent et il ne revint pas. Trois ans passèrent et satêterevint". Voyager : Tous les japonais se déplacent à pied. Seuls les nobles et les samouraïs en mission officielle ont le droit de chevaucher sur les routes. (...)
Le palanquin est une autre solution, plus rapide et le voyageur est alors porté de relais en relais. Lorsque passe le cortège d'un seigneur, les roturiers se prosternent dans la poussière. Leurtêtedoit toucher le sol. Les samouraïs doivent montrer la même déférence envers la suite d'un noble. (...)
Ces dernières commencent au niveau de l'estomac jusqu'au foie, vers le haut et enfin en diagonale vers le coeur. Un second tranchait latêtedu samouraï pour éviter toute manifestation intempestive et déshonorante de douleur ... Kirisutegomen : Tuer et s'en aller ! (...)
De paille également étaient faites les bottes que chaussaient les habitants des régions aux hivers enneigés. Sur latête, les gens du peule portaient une sorte de bonnet de couleur noire. La plupart du temps ils allaient nu-pieds ou, si la route était longue, ils disposaient de sandales de paille retenues par une lien passé autour de gros orteil. (...)
Enserrant le front, il se compose d'une calotte assez étroite munie à l'arrière d'un sorte de tube à l'intérieur duquel on enferme la touffe de cheveux du dessus de latête. Deux queues plates, souvent tressées en crins de cheval, sont fixés à l'arrière de la calotte. (...)Le Mon : est l'équivalent occidental du blason. Il est mis sur les armures des guerriers et sur le kimono des vassaux de la famille. Sur les champs de bataille, les guerriers ont toujours des drapeaux dans leur dos pour montrer son appartenance et éviter la confusion. De bonnes manières : L'haleine : les gens polis ne souillent pas de leur haleine les personnes d'un rang supérieur au leur. Il en va de même des femmes vis à vis des hommes. C'est pourquoi les japonais ...