Ciel et Terre
sur Chaodisiaque au format
Le maître du vent. Je m'appelle Ciel Noir. Je ne suis qu'un homme. Le sang qui coule dans mes veines n'est pas celui des dieux, ni celui des dragons, il me permet juste d'animer ce corps, de pousser cette charrue qui creuse son sillon pour m'offrir de quoi me faire vivre, de parler, et parfois, faire naître un sourire sur le visage de ma femme. Ce village est petit, si petit qu'il ne porte pas de nom, à peine une centaine de paysans l'animent, survivant avec moi, leurs âmes revêtues ...Contient : ferveur(...) De l'autre côté de la pièce, l'autre porte s'ouvre et on jette des torches et des clameurs résonnent avec uneferveurenragée presque religieuse. « Brûle ! » L'huile prend feu à la vitesse de l'éclair, et je me retrouve suant, étouffant au milieu des flammes. (...)