Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : caravaniers (2)(...) Il n'est pas simple d'y faire sa place et d'y garder une influence et une stabilité commerciale et nombreux sont les marchands qui ne font qu'y passer. Afin d'aider les moins groscaravanierset d'encourager les actions commerciales dans la région, les princes de Yasminabad demandèrent jadis aux marchands les plus influents de créer une guilde, une société d'entraide et de gestion marchande. (...)
Dirigée par un conseil de vingt-six marchands se réunissant traditionnellement hors les murs de la ville et ne prenant ses réunions qu'autour d'un brûloir d'encens à la façon des bédouins, la guilde est faite de contrastes. Usant des traditions nomades et des lois du commerce saabi, se réfugiant derrière l'image de sescaravanierscouverts de la poussière du désert, elle n'en est pas moins un groupement extrêmement riche ayant un poids politique à Jergath-la-Grande comme dans certaines villes du Capharnaüm. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...