Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : condamnés (3)(...) Travaillant main dans la main avec les wazirs attachés à la politique extérieure et commerciale de la cité, les trois maîtres d'escrime sont aussi leurs supérieurs directs. Spécificité héréditaire et morbide des trois écoles, les disciples sont touscondamnésà tuer leur frère d'apprentissage et à faire sienne son arme. Lors de leur initiation, les deux hommes partent en rite de passage dans le désert, en territoire hostile, attachés l'un à l'autre par une chaîne et seulement armés d'un cimeterre pour deux. (...)
Les tristes princes : Il existe une caste noble à part, à Yasminabad, faite d'hommes d'escrime qui furent tous, à un moment de leur vie,condamnésà tuer leur meilleur ami, leur frère d'arme. Les tristes princes épousent la doctrine d'une des trois écoles d'escrime ayant découlé du meurtre d'Alaeddine par Lakhdar. (...)
Monstre conquérant, Keliphrate entraîna avec lui deux cent cyclopes, tous ayant la ferme intention de tuer les dieux et de prendre leur place. Malheureusement pour eux, les cyclopes furent vaincus et les survivantscondamnéspour l'éternité dans cet enfer terrestre qu'est la terre des gouffres. A jamais, ils devraient forger, jour et nuit, pour le service des dieux et des Saabi qui les révèrent dans la région. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...