Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : postes (3)(...) Il s'agit là d'une stratégie nécessaire pour rééquilibrer la vie commerciale à Yasminabad : la guilde des marchands y a un tel pouvoir, qu'il serait impossible de garder la main-mise sur l'économie locale sans avoir des fidèles de l'école auxpostesclés de cette organisation. Il résulte de ce fait des liens étroits, et souvent officieux, entre le pouvoir de la médina et la guilde des marchands. (...)
Ecole Jidar al'iblis Dans le principe très proche de l'école des gardiens des gouffres de l'Al-Alaeddine, Jidar al'iblis se veut gardienne des portes infernales. Elle enseigne l'art de la chasse aux démons et aux mauvais djinns et construit des avant-postespartout dans le monde à proximité de ce que l'on considère comme des portes vers les enfers ou vers des lieux d'où sortent régulièrement toutes les créatures capables de ternir la beauté du monde créé par les dieux. (...)
Ce vaste territoire se traverse en deux jours à peu près, mais le fortin où siège la garnison n'est qu'à une petite journée de l'oasis. Il s'agit de l'un des avant-postesdes armées d'Occident les plus avancés, il n'est plus situé dans le Capharnaüm mais dans le désert, terre de non-droit. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...