Ultima necat
sur La Cour d'Obéron au format (277 Ko)
Il s'agit d'un scénario d'introduction à Wraith : les PJ commencent comme simples mortels, trouvent accidentellement la mort au cours du scénario, et découvrent le Monde des Ombres en tentant d'échapper à des trafiquants d'esclaves. Ce scénario fournit également les décors d'un lieu hanté, morbide à souhait, qui pourra devenir un repère pour les PJ. I. Synopsis. Les PJ sont des vifs demeurant ou voyageant dans l'est de la France. Pour des raisons personnelles, chacun d'entre eux doit se ...Contient : coeur (3)(...) Lorsque les PJ vont naître à leur condition d'ombre, rallumez seulement quelques bougies... Ils sont désormais dans le Monde des Ombres). 4. Erèbe. Tout est noir. Aucoeurdu noir palpitent faiblement des voix : des chuchotements à peine audibles, qui se taisent parfois brusquement comme s'ils craignaient d'être entendus, puis qui reprennent insidieusement, remplis de venin et de fiel. (...)
(Les voix sont celles des côtés sombres des PJ : expliquez à vos joueurs comment fonctionne le côté sombre et distribuez les fiches des côtés sombres.) 5. Moissonnés. Aucoeurde cette scène étrange, les PJ perçoivent une anomalie : dans la clarté vague du bout du tunnel, ils perçoivent avec difficulté une silhouette translucide et maigre, qui semble flotter vers eux, entourée par un halo de lumière blafarde. (...)
Lorsque la membrane est déchirée, les PJ subissent un déferlement de souffrance épouvantable : - Un froid glacial s'engouffre en blizzard autour d'eux, leur donne le sentiment d'être calcinés jusqu'au plus profond de leurcoeur, jusqu'à avoir le sentiment d'être dispersé en particules hurlantes par le gel ; - Leurs sens deviennent extraordinairement affûtés : le vacarme des secouristes (appels radios, scies-sauteuses, cris, tenailles cisaillant le métal) leur donne le sentiment de faire exploser leur crâne, les lueurs des lampes et des étincelles brûlent leurs yeux, laissent des phosphènes de magnésium danser dans leur champ de vision et vrillent leur cerveau comme des coulées de lave. (...)