Les automates rêvent-ils de moutons à vapeur ?
sur Eastenwest
Contient : fer (9)(...) ' L'Exposition Universelle battait son plein et sur les bords de Seine se massaient des palais aux audaces baroques, castels et pagodes brillant de mille feux, fantaisies exotiques agglutinées les unes contre les autres comme au sortir de quelque rêve baroque. Plus loin, la masse des gigantesques palais deferoù s'entassaient par milliers les machines et les inventions les faisaient ressembler à d'énormes monstres de métal assoupis. (...)
(...) L'immense tour Eiffel dont l'élégante silhouette s'élevait au-dessus de la ville comme un trophée de splendeur trônait face au palais du Trocadéro, flanqué de ses deux campaniles. La grande demoiselle defer! Comme elle était belle et radieuse et fière au-dessus de cette mer de verre et de métal, comme elle brillait dans la nuit, sous les feux croisés des projecteurs installés aux quatre coins de la ville ! (...)
Paris et ses ruelles, ses allées et ses avenues au-dessus desquelles se jetaient par milliers les ponts et les passerelles, réseau de cristal et defermêlés, finesse des architectures, miraculeux équilibre entre l'Art et le Progrès ! ' Amenés à enquêter sur la tragique disparition d'une jeune fille, les personnages sauront-ils percer un mystère qui prend racine en extrême Orient et se dénoue sous leurs yeux dans la capitale du monde, le temps de l'Exposition Universelle ? (...)
Aristide Doguet, inspecteur de police. Petit et rondelet, d'un certain âge, doté d'une épaisse chevelure couleur defer, Doguet porte la moustache et s'exprime avec un léger accent du sud. C'est à lui que les personnages auront à faire s'ils ' se font trop remarquer '. (...)
Le monstre de glaise, se mouvant sur les terres interdites. Tu as fait de moi ce que je suis. Je te tuerai, Victoria, aussi vrai que ma figure est defer. Je te tuerai si j'en ai l'occasion. Sous sa gangue de métal, mon cerveau reprend vie. Les souvenirs se réveillent. (...)
Si l'Hôte le souhaite, Posthumus et les personnages prisonniers peuvent faire une dernière halte ici (le nain se juche alors sur le cheval à bascule) afin d'éclaircir certains points (par exemple, Posthumus est a priori le seul à se douter qu'Haterley a hérité d'un pouvoir magique), avant qu'ils ne soient emprisonnés, le temps de préparer le transfert de leur esprit dans un automate... Si les personnages préfèrent une approche plus discrète pour pénétrer dans les établissements Soliman & Fils, c'est parfaitement possible, particulièrement de nuit. Des rideaux deferbarrent l'entrée principale, au rez-de-chaussée, mais la manufacture abrite ses entrepôts dans la rue du Helder, moins fréquentée. (...)
La soufflerie donne sur une large galerie qui ressemble étrangement à une coursive de navire avec plusieurs instruments de navigation saillant sur ses flancs. Le couloir débouche sur un sas à hublot qui donne sur un petit escalier deferforgé qui descend dans un bureau décoré de tentures carmin. Une porte mène aux cellules où sont peut-être enfermés les amis des personnages. (...)
Elle murmure alors quelques mots que les personnages n'oublieront sans doute jamais : ' We are not amused. ' Note : La Tour Eiffel est un endroit que les Faës évitent avec grand soin, tant la quantité defery est importante. Toute Faë au sein du groupe du personnage sera certainement hors de la tour pendant tout le dernier chapitre. (...)
Le monstre de glaise, se mouvant sur les terres interdites. Tu as fait de moi ce que je suis. Je te tuerai, Victoria, aussi vrai que ma figure est defer. Je te tuerai si j'en ai l'occasion. Sous sa gangue de métal, mon cerveau reprend vie. Les souvenirs se réveillent. (...)Ce scénario se déroule quinze à vingt ans après l'époque habituelle de Château Falkenstein. Durant cette période, les inventions et les progrès technologiques furent légion et il serait fastidieux de les énoncer tous. Néanmoins, pour les besoins de l'histoire, il est indispensable de préciser que dirigeables, aérocars et automotives sont désormais des moyens de transports courants en Nouvelle Europe. PROLOGUE : LA PLUS BELLE VILLE DU MONDE Paris, mai 1889. ' L'Exposition Universelle battait ...