Les brumes de l'oubli
sur La Cour d'Obéron au format (200 Ko)
Contient : flots (3)(...) Errant au travers de ce qui fut autrefois une ville florissante, il finit par s'arrêter sur une place où une superbe statue d'enfant, à demi submergée par lesflots, semble avoir été figé au beau milieu d'une danse gracieuse. Et, comme à l'intérieur de lui, une voix féminine lui murmure : Quand pour les vivants vient le sommeil Ceux qui sont morts parfois s'éveillent. (...)
Tharbad, port étrange : Arrivant à Tharbad, les personnages sont bien forcés de se rendre à l'évidence. Cette ville portuaire est une cité morte, et lesflotsen ont fait un passage bien incertain. D'ailleurs, le cadavre boursouflé d'un cheval portant encore son harnachement1 en témoigne : franchir le Gwathlo ici est devenu extrêmement périlleux. (...)
Endiel s'écroulera alors, en larmes et aura quelque peine à continuer : « Je ne crois pas être revenue en ces lieux depuis la catastrophe. » Il va de soi que se mettre en quête de la statue devient impératif. Celle-ci, mise à bas par lesflots, est enfouie sous la vase et il faudra quelques efforts pour la dégager de sa prison de boue. Mais, par une curieuse ironie du sort, sa chute ne l'a pas brisée. (...)Ce scénario (pour « La Terre des Héros », « Tiers Age », ou tout autre jeu se déroulant dans les Terres du Milieu) fait suite à « Une traque sans fin » (présenté lors du Quatorzième Concours de scénarios de la Cour d'Obéron) et forme donc le quatrième volet de la Chronique commencée avec « Quand grandissent les ombres... » et poursuivie avec « Ceux qui marchent dans les ténèbres ». Cependant, il peut être joué indépendamment de la Chronique La route se poursuit, sans fin... L'été 3018 se meurt ...