Haiku Kira
sur Kuro Shin Edo au format (1.7 Mo)
Contient : âme (2)(...) Sur ses cuisses, les Kanji d'un haïku ont été taillés avec précision : « Kami arau sunawachi kokoro araitaku » - « Je me lave les cheveux / C'est-à-dire / Que je me lave l'âme» (AWANO Seiho). Haïku faisant référence à la Potentielle (et lieutenant) Miyoshi Akane. Capitaine Itosaki : Confrontés à la Police, les PJ se mettront dans une mauvaise situation : Shuei piratera les flasheurs rétiniens des flics, qui donneront d'autres identifiants pour les PJ (faites-les douter de leur propre identité). (...)
Au sortir du vieil hôtel, c'est la stupéfaction : les PJ sont dans des ruines, un terrifiant amoncellement de gravats, d'immeubles effondrés et éventrés, de carcasses de véhicules détruits... sans plus aucune électricité. Niâmequi vive (du moins en apparence). Les PJ ont le plus grand mal à reconnaître Shin-Edo, du moins sa version après une Apocalypse effroyable. (...)Haïku Kira fait partie d'un ensemble de trois scénarios reliés par un fil rouge : la frontière floue entre technologie et surnaturel, le mélange et la confusion des genres. Mais, ils sont aussi reliés par une série de PNJ et de factions, à commencer par SHUEI, une IA dissidente qui souhaite s'affranchir de ses liens avec le gouvernement et l'Abura-Akago. A l'origine, Shuei était une IA de modélisation militaire, qui était utilisée par l'Abura-Akago pour établir des modèles tactiques prospectifs ...