Antoine
sur Eastenwest
Contient : phase (4)(...) Ce souvenir a été implanté et des sorts visant à détecter le mensonge ne le reconnaîtront comme mensonger que si l'interrogateur présuppose qu'une falsification est possible. De plus, les R+C ont infiltré l'orphelinat et y manipulent également les témoignages.PHASEI - ENQUETE A l'orphelinat on peut apprendre qu'Antoine était un garçon solitaire (froid diront certains) et sujet à la risée et aux taquineries de ses camarades. (...)
Michael se sent irrésistiblement attiré par son jumeau stellaire dans l'Akasha ; dès qui en a trouvé la porte, il y pénètre.PHASEII : L'Akasha du pays de Cocagne C'est un Akasha alimenté par les rêves des enfants et par leurs passions pour les héros et héroïnes de contes, de BD, de dessins animés. (...)
Quoiqu'il en soit, aucun PJ (ni même les chevaliers rêveurs d'ailleurs, ce qui à terme leur sera fatal) ne peut repartir de l'Akasha : seul Antoine est assez innocent et enphaseavec le « ton » de l'Akasha pour en retrouver la porte, ce qui pour lui est assez facile. Toutefois les habitants de l'Akasha pourraient placer des chimères près de la porte et exiger la réparation des zones de terres gastes créées par Antoine : c'est un processus long et délicat qui demandera des sacrifices de Ka (en accomplissant des actions à la fois enphaseavec Ka élément sacrifié et le thème de l'Akasha). Epilogue : les jumeaux stellaires Deux arkaims qui « naissent » au même instant, quelle que soit la distance qui sépare le lieu de cette naissance, sont des jumeaux stellaires. (...)Ce scénario est plus un cadre, un contexte, qu'un scénario. Je veux dire par-là qu'il est extrêmement ouvert : le thème central est le « sauvetage » d'un jeune orphelin, Arkaim, qui s'ignore. La première partie est conventionnelle et ne devrait pas être trop complexe. Au terme de celle-ci, les PJs se retrouvent dans un Akasha qui a pour atmosphère l'enfance, les contes, dessins animés... Dans la mesure où chacun à un minimum de souvenirs des séries, contes ou héros qui ont bercé sa jeunesse, je n'ai ...