Volcania 3 - CHAPITRE I : Introduction.
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Contient : femmes (6)(...) Les Hammer ont pour ordre de couler quiconque oserait s'arrêter là. Un groupe de pilleurs de ruines : La compagnie de Yarek est composée de cinq hommes et de deuxfemmes. Leur dirigeant se nomme Férions (un géant de deux mètres vingt), un ancien Hammer ayant démissionné pour des raisons que tout le monde ignore. (...)
Il propose donc au pirate non seulement de lui laisser libre accès à la ville mais en plus de devenir son adjoint. En échange, lui et ses hommes devront ramener un tribut important enfemmeset en hommes non stériles. Planxty est vieux, il cherche la sécurité, il accepte donc le pacte et se convertit à la religion du Magma en signe de bonne volonté. (...)
La dynastie des Néo-Weird s'arrête officiellement à cette date. La population de l'époque est de 6 000 personnes. Les pirates ont ramené desfemmeset des hommes non stériles certes, mais aussi toute la racaille des mers. Les membres de la Ligue Rouge surnomment Volcania III, Tortola la ville pirate. (...)
Devant la foule médusée, elle menace d'égorger son propre enfant si on ne lui redonne pas ses droits. Elle est abattue mais a le temps de tuer son rejeton. Toutes lesfemmesfécondes de Volcania III sont rapidement mises au courant de l'histoire et se rebellent, mettant en péril l'avenir de la cité. (...)
Les hommes féconds n'ont jamais tenté de se constituer en guilde. Il leur est plus facile de se (re)produire que lesfemmes. 503-513 : L'agrandissement de Volcania III. Chloé Planxty se rend compte que la station est trop petite à présent. (...)
Un personnage ayant des idées préconçues sur les mutants risque de souffrir dans une place comme Volcania III. Les seules personnes à bénéficier d'avantages grâce à une particularité physique sont lesfemmesfécondes. On les appelle les Mères. Elles sont reconnaissables à leur accoutrement luxueux, ample, et à leur coiffure délirante (coupe, couleur et tresses). (...)«Tu vois gamin, la vie c'est ça.» Lorien haussa les épaules, dubitative. Autant que ce soûlard la prenne pour un garçon. Au moins il n'essayerait pas de la violer dans un coin sombre. Depuis deux heures, elle attendait, accoudée au zinc de l'Auberge de la méduse, à écouter les élucubrations de ce marin d'eau douce. Elle ne s'était pas payée le luxe d'une place assise mais elle n'en avait cure. Trois ans à Équinoxe lui avaient appris à vivre dans la promiscuité. Elle balaya du regard la ...