Les Nouveaux Khamshems
Le dhiz : Drogue végétale sous forme de feuilles, le dhiz peut être fumé ou chiqué. Il est possible de le traiter et de le concentrer. Sa consommation plonge dans une brume agréable. Effets : Le dhiz n'a d'effet qu'en cas de réussite d'un jet de seuil 3.5 (dhiz brut) ou 3.6 (dhiz traité) contre la Résistance du personnage. En cas de réussite, les Réflexes et la compétence Percevoir perdent 2 points d'indice. Par ailleurs, la faim, la douleur et la fatigue sont réduites (un point d'épuisement ...Contient : tribu (7)(...) On voit donc rarement des Kaïdushangs en dehors de leur territoire traditionnel, bien que de fortes communautés demeurent dans certains quartiers des grandes cités cosmopolites. Histoire : Latribukaïdushang a jadis érigé plusieurs cités fameuses. Elle partage donc avec les Khamshems la haine des Teutons. (...)
Coutumes : Les Kaïdushangs sont les Khamshems qui consomment le plus de dhiz, ce qui leur donne cette fixité du regard qui les caractérise selon les autres peuples khamshems. Les femmes de latribusont employées à la cueillette de l'herbe. La sous-alimentation est fréquente chez les consommateurs de dhiz, qui peuvent oublier de manger plusieurs jours d'affilée. (...)
Il est motivé principalement par l'appât du gain et le besoin du dhiz, mais il est aussi respectueux de la religion et possède un code de l'honneur valable dans satribuet sa secte. Caractéristiques : Points de caractéristique : 36 Force : (3.1 à 3.4/3.5 et 3.6) Résistance : (3. (...)
Shibacub : Les bâteaux shibacubs circulent le long de presque tous les fleuves des basses terres de Dracheland, et il leur arrive de parcourir les eaux sarrasines et yidshes, voire teutoniques. Pourtant les marchands et marins ne forment qu'une minorité de latribushibacub, très grande et très répandue dans l'ensemble des basses terres. Les Shibacubs forment un peuple de paysans, d'artisans et d'éleveurs renommés. (...)
L'émergence de variations religieuses précipita l'évolution séparée des Khamshems et des Shibacubs, ces derniers s'étant mis à adorer des dieux spécifiques. Le chef spirituel de latribu, le bashishub, est actuellement en passe de devenir chef temporel de toute une région des basses terres. (...)
Coutumes : Devenu adulte, un Sholkin se fait tatouer le visage et les épaules d'arabesques sophistiquées, pour signifier aux étrangers qu'il est prêt à accepter des missions de combat, rémunérées, bien entendu. Quand il part pour de telles missions, le Sholkin ne revient jamais dans satribud'origine. Il veille néanmoins à ce qu'une partie de ses revenus soit versée à sa famille. Sa vie devient alors une succession de missions. (...)
Les dirigeants weezwarts ressemblent étrangement à des caïds ; en fait, la ' Société ', c'est-à-dire la pègre, contrôle toute latribu. Les truands dirigent le commerce de la prostitution. Outre les frusques et les armes de leurs victimes, ils vendent le fruit du travail des Weezwarts qui n'appartiennent pas à la Société. (...)