[CR] Khaos 1795
Voici un petit compte-rendu de la dernière partie de Khaos 1795 pour les joueurs absents. Nous avons commencé la campagne de 'L'heptalogie Gütemberg' il y a quelques semaines. Durant le premier épisode, 'L'imprimerie secrète', les révolutionnaires ont localisé puis récupéré une presse utilisée par le Tribunal pour sa propagande. C'est ainsi qu'ils ont découvert que le Tribunal avait réalisé des affiches pour promouvoir un hospice accueillant gratuitement les enfants aveugles de naissance. ...Contient : enfants (5)(...) C'est ainsi qu'ils ont découvert que le Tribunal avait réalisé des affiches pour promouvoir un hospice accueillant gratuitement lesenfantsaveugles de naissance. Dans le deuxième épisode, 'L'hospice des quinze-vingts', et avec les indices précédemment trouvés, les révolutionnaires ont découverts que le Tribunal menaient des expériences malsaines sur desenfants, en présence du Khaos. Le troisième épisode, 'L'abbaye qui s'enfonce', s'est donc ouvert par une mission confiée aux révolutionnaires par leur contact du cercle du Jeu de Paume, Jean-Antoine Poilroux : trouver un lieu d'accueil et d'hébergement pour la vingtaine d'enfantslibérés lors de la mission précédente (il n'est pas envisageable de les garder en ville, leurs parents restant introuvables, sans attirer l'attention de l'Oeil). Sur la base de vieux renseignements, il leur faut contacter une certaine Hodierne, rebouteuse aveugle dans le village de Sainte-Genviève-des-Bois. (...)
Elle doit d'abord se concerter avec son groupe pour ce sacrifice demandé. Mais avant de s'occuper d'autresenfants, Hodierne pense à sa fille, Blandine. Celle-ci a été enlevé par l'Armée Intérieure et est détenue à la tour de Montlhéry, utilisée comme mirador par l'Armée. (...)
Mais pendant ce temps, les autres assistent à la nouvelle rencontre avec Hodierne qui leur donne une bonne nouvelle : elle accepte d'accueillir et de s'occuper desenfantsmaltraités. Les révolutionnaires ayant décidé de libérer sa fille Blandine, elle leur révèle que la tour a été construite sur un antique tumulus gaulois, et donc que la colline où repose le mirador est traversé par des couloirs. (...)