Le Guide de la Cité Médiévale Fantastique
sur Le Sablier Eternel au format (2.7 Mo)
Contient : guildes (82)(...) Cette opposition créée une situation tendue et mouvante pouvant engendrer de nombreux et intéressants développements. Lesguildes: Lesguildesfournissent à la ville une structure et une réglementation interne. Les seigneurs concèdent aux villes le droit d'établir desguildes, telles que prévues dans la charte. Dans les premiers jours de la cité, la guilde remplace les obligations seigneuriales et bouleverse la société paysanne. Les membres d'une guilde paient une cotisation et sont soumis à l'autorité et aux règles de la confrérie. (...)
Devenir membre de la guilde, en accord avec le serment prêté, donne la citoyenneté à tous ces membres et les avantages qui y sont liés, y compris aux serfs nouvellement affranchis. Lesguildesfont aussi office de police d'assurance. Si un marchand ou un artisan décède, la guilde s'occupe de lui donner des obsèques décentes et prend soin de la famille du défunt. (...)
Une guilde et ses membres contribuent souvent, surtout dans les premières années de la ville, à l'édification de l'enceinte protectrice. Dans les villes fantastiques, lesguildessont très puissantes, notamment lesguildesde marchands. Il n'est pas rare que l'influence d'une guilde rivalise avec celle du seigneur de la ville. Pour lesguildescomme centres de pouvoirs, lire le chapitre dédié à ceux-ci. Le conseil de la ville : Le seigneur octroie habituellement le droit aux villes de se doter d'un conseil, bien qu'il puisse continuer à nommer les personnes de son choix aux postes clef si tel est son désir. (...)
Ainsi peut-on payer une taxe sur le vin, une taxe sur la bière, une taxe sur le grain... Si la ville peut surveiller le trafic d'une marchandise, celle-ci peut être soumise à une taxe. Un conseil de ville peut aussi taxer lesguildes, quelque fois plus lourdement que ce que ferait le seigneur. Une ville peut aussi lever des taxes en cas de situation de crise, telle une taxe pour financer une guerre, et oublier d'annuler celle-ci la crise, ou l'urgence, passée. (...)
La citoyenneté crée aussi des distinctions sociales alimentant certaines tensions, notamment dans les villes les plus évoluées. Alors que lesguildessaturent et que l'afflux de paysans est très important, celles-ci ferment leurs portes aux nouveaux arrivant, n'acceptant de nouveaux membres que par les liens du sang, réduisant le nombre d'apprentis, de compagnons et de maîtres ou en augmentant très fortement les droits d'entrée dans la guilde. (...)
Les cités peu menacées par une invasion voient la fonction martiale de leur enceinte remplacée par une fonction plus sociale. Les gardes, qui ne sont que des membres desguildeslocales dans de nombreuses de ces villes, patrouillent les murs et les rues, s'arrêtant pour discuter avec les gens qu'ils connaissent. (...)
Les nouvelles cités utilisent une taverne, une maison particulière ou un autre endroit afin de réunir le conseil de la ville, mais la prospérité venant un bâtiment de pierre érigé près du marché principal devient le siège de l'autorité municipale. Le conseil partage quelquefois son hôtel de ville avec lesguildesafin de réduire les coûts, tant de construction que d'entretien. Les hôtels de guilde : Les hôtels de guilde sont des bâtiments similaires à un hôtel de ville, mais ils abritent une guilde. (...)
La guilde des marchands, souvent la plus riche d'une cité, a son propre hôtel de guilde. Les autresguildesn'ont en général pas les finances pour bâtir leur propre hôtel. Quelquefois elles regroupent leurs ressources et construisent un hôtel de guilde commun, divisant le bâtiment entre l'ensemble desguildesayant contribué. Les hôtels de guilde servent de lieux de rencontre d'information e t d'assemblée, de relais postal et pour les loisirs des membres desguildes, ils fonctionnent comme des théâtres, des salles de concert ou toute autre activité distrayante. Cependant la plupart des activités d'une guilde se passent dans les lieux publics. (...)
Les tribunaux municipaux ne connaissent que des affaires civiles entre citoyens et jugent selon les codes municipaux. Les cités jeunes comptent beaucoup sur lesguildeset sur la pression sociale pour faire respecter les règles civiques. En général, la magie facilite le crime. (...)
Des fermes et des villages entourent la plupart des cités, produisant en surplus pour alimenter les habitants de la ville. Quelques-uns continuent de faire les moissons pour le compte du bourgmestre. Les quartiers, lesguildesou les pâté de maisons forment de petites communautés dans l'espace urbain formant des petits villages à l'intérieur des murs. (...)
Nombre de petites révoltes éclatent chaque jours dans les cités quand les religions luttent pour l a reconnaissance, les membres de l'aristocratie se soulèvent contre le seigneur de la cité, réclamant plus d'autorité et moins d'extorsion, et lesguildesd'artisans argumentent de leur côté pour savoir qui pourra utiliser les locaux. Bien que des rapports physiques pourraient simplifier les choses, l'interaction sociale est un autre champ de bataille qui ajoute une complexité supplémentaire à n'importe quelle campagne. (...)
Le chapitre suivant décrit de quelle manière les groupes exercent leur pouvoir en leur sein. La Guilde des artisans : Lesguildesd'artisans utilisent la moindre parcelle de pouvoir disponible. Elles contrôlent la production, l'amélioration des compétences de leurs artisans, et le prix de vente de leurs produits. Au début de l'époque médiévale fantastique, lesguildesd'artisans avaient parfois besoin de la permission du bourgmestre ou du conseil municipal pour exister. (...)
Très tôt dans l'époque médiévale fantastique, les habitants des cités deviennent membres d'une guilde. Alors que deguildesdeviennent de plus en plus sélectives dans leur adhésion et avec la progression de leurs membres au sein de la guilde. (...)
Quelques-unes d'entre-elles fixent des honoraires d'entrée exorbitants, alors que d'autres autorisent l'adhésion seulement aux héritiers des membres actuels, voire même au futur mari de leur fille. Ces limitations rendent l'adhésion auxguildessocialement exclusive et financièrement intéressante pour ceux ayant une position influente dans la guilde. (...)
Chaque guilde surveille plus ou moins ses membres et a une influence variable sur le reste de la ville. Ceci détermine le niveau de restriction imposé par la guilde. Apprenti : Lesguildesd'artisans comprennent trois types d'artisans : les maîtres artisans, les compagnons, et les apprentis. (...)
Compagnon : Le compagnon est l'artisan « moyen » de la guilde. Il peut fabriquer et vendre des articles de manière indépendante, bien que certainesguildesd'artisans exigent des compagnons une surveillance par un maître artisan principal et ses autorisations. (...)
Ils sont les ambassadeurs de leur artisanat lors des échanges civiques et face à la guilde des marchands. Mis à part le contrôle des ses artisans, lesguildesaffectent également la ville dans son ensemble. Les rébellions, les révoltes, et les prises de pouvoir sauvages ont toujours commencé au sein d'une guilde ou d'une autre. (...)
Les tisserands faisant bloc contre la guilde des marchands sur les prix d'achats de leur produits, les cordonniers n'étant pas d'accord avec le lourd impôt sur les cuirs étrangers importés, et les maçons faisant grève parce que le maître maçon responsable de la construction de la nouvelle église n'est pas un maître maçon local... Tout ceci n'est que des exemples banals de conflit de métier.Guildesdes Marchands : Toutes les villes ont une guilde des marchands, même les plus récentes villes médiévales fantastiques. Lesguildesdes marchands se développent habituellement avant toutes les autresguildes. Socialement, elles sont audessus desguildesd'artisans, bien que les artisans puissent appartenir à la guilde des marchands. En l'absence d'un conseil municipal, la guilde des marchands agit en tant que tel. Ils négocient les droits, les impôts et les loyers avec le seigneur de la cité. (...)
Dans les plus petites villes tous les négociants appartiennent à une guilde des marchands unique. Dans les plus grandes villes, les négociants peuvent former desguildesmultiples selon leur produit spécifique. La Guilde des Magiciens : Aucune ville médiévale fantastique n'est complète sans la guilde des magiciens. (...)
Pour les membres suffisamment riches pour se permettent un retour, la guilde peut assurer le retour du membre. Dans les plus grandes cités auxguildesplus riches, la guilde des magiciens peut permettre l'accès aux installations de recherches, aux laboratoires, aux matériels spécifiques, et aux composants de sortilèges. (...)
S'il y a une guilde des magiciens dans une cité, en devenir membre n'est pas un luxe, c'est une nécessité. Comme pour les autresguildesde professionnel, l'adhésion est obligatoire pour pouvoir pratiquer la magie dans la ville, ce qui inclut l'incantation de sorts pour quelqu'un d'autre, la vente de services magiques et la fabrication d'artefacts magiques destinés à la vente. (...)
Ceci ne signifie pas que ces pratiques n'existent pas, mais cela signifie que la guilde a un rôle important à jouer face aux transgressions des règles établies. La guilde écrit également ses règlements et lois. Bien que les lois desguildesde magiciens seront probablement liées aux besoins de votre campagne, en voici toutefois quelques exemples. Lesguildeslimitent les autorisations de pratique de la magie et réglementent la création d'articles magiques. (...)
Il est important de rappeler qu'en dépit de l'aspect de franche camaraderie et des règles de bienséance, règne au sein desguildesde magiciens, comme dans tout autre guilde d'une cité médiévale fantastique, la recherche individuelle du pouvoir, les haines fratricides, les règlements de compte, le non respect systématique des règles et autres vilénies. (...)
Bien que les seigneurs puissent accorder à une ville le droit de créer une guilde de magie, ils ne lacheront jamais leur droit aux taxes et autres impositions sur l'utilisation de la magie, à moins qu'il ne soit physiquement forcé de faire autrement... Lesguildesde magiciens sont potentiellement le groupe le plus puissant dans une ville. De tels organismes bénéficient, bien évidemment, de l'appui de la magie, mais très probablement aussi de la richesse, pour concurrencer d'autresguildeset d'autres groupe de pouvoirs et les influencer. Les magiciens fournissent la magie qui permet de diminuer la criminalité, de favoriser les regroupements d'intellectuels et d'améliorer la diplomatie. Lesguildesde magiciens sont remplies d'intellectuels et de leur savoir. Ils apprécient à leur juste valeur ces endroits dédiés à l'étude et l'érudition. (...)
Dans les plus petites communautés, il est possible d'avoir une guilde similaire a celle des magiciens, utilisant les concepts desguildesde sorciers et des bardes. Mais de telles organisations ne peuvent pas réunir assez de connaissances magiques en leur sein et doivent souvent se contenter de leur coté mystique et occulte... LaGuildesdes Voleurs : Lesguildesdes voleurs sont des associations entre les ne doivent pas être obligatoirement des voyous et un voyou ne doit pas forcément utiliser les aspects les plus sombres de ses compétences. Etre membre d'une guilde des voleurs fournit les mêmes avantages que toutes les autresguildes: assurance, formation sur le multiples ficelles du métier. Outre cette formation, les membres reçoivent les outils spécifiques à leur métier, outils qui, bien sur, ne sont pas disponibles dans les magasins ordinaires. Si un membre de la guilde a quelques ennuis avec la justice, la guilde peut l'aider habilement et subtilement, en échange, bien évidemment, d'argent ou d'une faveur. Lesguildesde voleurs abritant des individus avec le même état d'esprit, il n'est pas rare que ces individus fassent des alliances, établissent des plans et obtiennent facilement des information sur les bâtiments, les personnes et les mesures de sécurité. (...)
Si le chef de guilde dit 'ne pas voler cet endroit' c'est un ordre à ne pas prendre à la légère. Lesguildesaccumulent également un répertoire des indicateurs, des informateurs, des fonctionnaires subornés et des aides magiques que d'autres membres de guilde peuvent employer. (...)
Les fonctionnaires peuvent toujours attraper un ou deux voleurs, l'opération continue... Le maintien d'un respect mutuel et d'un code parmi les voleurs est très utile, c'est ce qui fait que parfois lesguildesde voleurs les plus évoluées sont légales. Afin de garder une unité au sein de la guilde, celle-ci doit être suffisamment forte et puissante pour maintenir l'ordre et punir les membres et les voleurs indépendants qui enfreindraient les lois sur son territoire. (...)
Une fois qu'un négociant paye la guilde pour sa protection, la réputation de celle-ci est en jeu. Qui voudrait d'une guilde de voleurs à laquelle on ne peut pas faire confiance ? Lesguildesayant assez d'autorité répartissent généralement le territoire à diverses factions internes, dans le but d'aider à garder la paix. (...)
En dépit des différences d'objectifs, les voleurs et leur guilde cohabitent dans une ville médiévale fantastique qui a ses propres lois. A moins que la société entière et les chefs de la ville ne soient tous « blancs comme neige », lesguildesdes voleurs existent probablement dans toute ville, du moment qu'il y ait assez de richesses pour que les voleurs puissent avoir une vie décente. La première explication pour l'existence desguildesde voleurs au sein de la société urbaine est l'accord implicite entre les voleurs et leurs victimes. (...)
Maintenant si la guilde des voleurs effectue un travail dans l'église du dieu patron de la cité, volant une de ses reliques, ou effectue un immense braquage chez le plus influent des négociants de la ville, il se peut qu'elle ait quelques soucis à se faire. Les accords et les alliances forgées avec d'autresguildeset factions de ville sont une autre raison de l'existence desguildesde voleurs. Celles-ci peuvent suborner assez de fonctionnaires administratifs pour maintenir la guilde dans les affaires et la plupart des membres riches de la société ont assez d'argent pour payer leur protection. Même avec l'aide de la magie, il est certainement plus facile de cohabiter plutôt que de tenter de déraciner une organisation entière. (...)
Peut-être que le chef de la guilde des voleurs s'avèrerait également être le chef de la guilde des marchands. Lesguildesde voleurs remplissent également une fonction civique pour ceux qui ont besoin d'une discrète aide illégale. Dans des environnements plus hostiles, lesguildesde voleurs ont habituellement des accords étroits avec la guilde des magiciens, gagnant secrètement l'aide des magiciens en échange de faveurs. (...)
Le côté le plus frappant de la culture médiévale fantastique et la raison finale de la présence desguildesde voleurs dans une ville est la multiplicité de lois. Etant donné les cinq sources de loi, voir chapitre 7 : De ceux qui gouvernent, un acte peut être illégal dans un tribunal, mais légal dans les autres. (...)
Plusieurs de ces sortilèges étant de niveau élevé l'utilisation de magie simple permet d'accentuer la sensation de menace sur les secrets de la guilde. Lesguildesdes voleurs peuvent néanmoins utiliser la contre-magie. La limitation des responsabilités est la méthode typique pour éviter les attaques magiques. (...)
Les positions dans la guilde des marchands ouvrent les portes aux avantages financiers et commerciaux. L'obtention d'un territoire marchand ou l'application de pressions sur desguildesd'artisans par l'intermédiaire de la guilde des marchands sont deux exemples banals du pouvoir politique utilisable par l'aristocratie. (...)
Les aristocrates sont également défenseurs de la communauté et patrons des arts, de la religion, desguildeset des projets de la cité. Dans une ville aux religions multiples, avoir l'aide financière et sociale d'un membre de l'aristocratie est très important pour les chefs religieux. Si l'aristocratie favorise lesguildesde magiciens plutôt que les instances religieuses, cette faveur donne plus de puissance aux magiciens. (...)
Ils écrivent également les décrets et diverses ordonnances concernant l'hygiène, les couvre-feux, lesguildeset les patrouille de nuits dans les rues. Ils surveillent les projets des cités et les planifications et, dans les villes libres, le conseil municipal peut même proposer une charte desguildes. Les Bourgmestres : Le bourgmestre dirige habituellement la ville et lui donne une ligne de conduite à respecter. (...)
Le vendeur ne vend pas si le prix est trop bas ; l'acheteur n'achète pas si le prix est trop élevé. Lesguildesjouent un grand rôle dans la régulation des prix, mais ceux-ci ne sont pas prévus maximiser les bénéfices. Ils sont prévus par maintenir l'ordre social. Lesguildesfixent habituellement la limite basse d'un prix pour éviter une trop grande concurrence entre négociants et des artisans de la même guilde. (...)
On suppose que la présence de la magie renforce les richesses de la cité, surtout quand ce sont de très vieilles villes. Ainsi, dans les villes plus anciennes, lesguildesplus anciennes, les bâtiments, et les familles établies, ont les ressources magiques de la génération actuelle et des générations précédentes. (...)
Nettoyer les commodités à la main peuvent être répugnant, mais quand quelqu'un peut les nettoyer à 10 mètres de distance sans se salir les mains, peutêtre que finalement ce n'est pas une si mauvaise profession. Quelques organismes etguildespeuvent fournir des services dans un esprit de contribution civique. Les églises et les religions orientées vers la charité peuvent remplir réservoirs et les fontaines avec de l'eau propre. Lesguildesdes magiciens peuvent examiner les actes de magie nuisibles et illégaux effectué en ville. Les nouveaux sorciers, avec des compétences limitées, peuvent être employés à des tâches spécifiques. (...)
Tout le monde ne le peut pas mais ceux qui en ont les moyens peuvent s'offrir leurs services. L'application et le droit d'utiliser la magie dans la ville dépendent considérablement desguildes, des associations et de la politique locale. Dans des endroits sous le joug d'une puissante guilde de magiciens, d'autres sorciers indépendants pourraient éprouver des difficultés à pratiquer ou vendre leur magie. Quelques villes ont desguildesdes magiciens rivales avec des objectifs différents. Un tel environnement pourrait entraîner une dualité entre magiciens, des conflits politiques et, à la limite, une tendance à se diriger vers les ordres divins. (...)
Souvent l'église du dieu patron ne permet aux autres religions de guérir des personnes, de faire des exorcismes, de casser des malédictions et des sortilèges. Tout est différent dans une ville aux multiplesguildes, associations et églises ; personne n'a jamais assez de pouvoir pour avoir le monopole de la magie... Les sorciers indépendants : En plus des organismes de magiciens et d'ecclésiastiques, les sorciers indépendants ont aussi le pouvoir de créer desguildesou des alliances. Les élémentalistes forment parfois des universités, offrant formation et partage de savoir. (...)
Les sorciers indépendants constituent aussi leur groupes, cependant ils ne sont pas aussi organisés que lesguildesde leurs confrères. La magie et l'artisanat : Il n'est pas rare que les sorciers indépendants aient une autre profession, trouvant ainsi une place sociale dans l'adhésion à une guilde de métier. (...)
Ils peuvent également être de vrais magiciens ou ecclésiastiques qui souhaitent rester en dehors desguildescréées pour les sorciers. Plutôt qu'assurer des services magiques et faire les objets magiques, ils emploient leurs compétences comme joker dans leur métier et commerce. Il paraîtrait que certainesguildesou et églises auraient interdit la présence de sorciers indépendant en ville. Généralement les sorciers indépendants ne sont pas limités tant qu'ils ne deviennent pas trop puissants, et qu'ils fassent de l'ombre aux autresguildesen cassant les tarifs ou en offrant des alternatives à certains services offerts par cellesci... Pour ces raisons, les sorciers indépendants se trouvent souvent dans les villes avec desguildesplus en retrait. Ceci leur permet de vendre leurs services à d'autresguildes, ceux qui est formellement interdit par les puissantesguildesqui cherche à garder leur monopole. Magie et loi : Typiquement, employer la magie n'est pas un crime. Beaucoup de sociétés médiévales fantastique ont des personnes qui exercent leur magie (bénédictions, magie curative, magie de service) et la société les accepte et leur fait un bon accueil. Là où le bat blesse, c'est lorsque la magie est employée pour blesser ou tuer quelqu'un. (...)
Les ecclésiastiques peuvent parler avec les dieux et déterminer ce qui s'est produit, mais cela ne résout pas le problème de la crédibilité d'un sorcier individuel face aux puissantesguildes... Créer des villes et cités médiévales fantastiques : Ce système est là pour aider les MJ à créer et concevoir des villes et cités médiévales fantastiques. (...)
Ce système fournit une méthode pour générer les éléments vitaux d'une ville, comme la densité de population, la taille et le nombre de bâtiments et quartiers, différents types de professions etguildesainsi que les centres de pouvoir urbain. Ce système est compatible avec les règles de base et les autres systèmes présents dans ce document, à savoir le système de génération de royaume et le système de génération de bâtiments. (...)
Marché :Peu de gens habitent dans un quartier du marché. On y trouve surtout des boutiques richement dotées, des maisons appartenant à desguildes, des grandes églises, des maisons individuelles, des bureaux appartenant à des marchands et des espaces dédiés au commerce. (...)
Par exemple, si les PJs interviennent lors d'un cambriolage et qu'ils veulent connaître qui ils ont aidé, faites rouler un dé de 1000 pour connaître la profession de cette personne.Guildes: Lesguildessont une chose commune et sont généralement centrées sur une profession. Dans une grande cité où il y a 50 relieurs, il y a assez de relieurs pour qu'ils forment leur propre guilde. Il pourrait même y avoir troisguildesdes relieurs, une pour les livres d'arcanes, l'autre pour les livres monastiques et la dernière pour les livres communs, ceux peu chers destinés aux masses dans les sociétés médiévales fantastiques les plus littéraires. Dans les plus petites communautés, les personnes touchant au même domaine forment aussi généralement une seule guilde. (...)
Dans une petite ville, par exemple, l'unique relieur et l'unique libraire peuvent s'associer pour fonder la guilde du livre. Référez vous à la Table IV.1.1 -Guildes, pour avoir un échantillon deguildespour les petites communautés.Introduction : De l'esprit et de la lettre de cette traduction Ce texte donne un bon aperçu des villes médiévales fantastiques. Il parle de l'organisation sociale, politique et géographique. Il s'agit en fait d'une traduction de l'extrait gratuit d'un supplément payant prévu pour D&D, donc pas directement lié à Warhammer. Cependant, beaucoup d'informations peuvent également servir à Warhammer, ce qui est la raison de cette traduction. Nous avons donc donner de temps a autre quelques renvois ...