Répertoire géographique de l'Arabie : Les Royaumes
du Désertsur Le Sablier Eternel au format (690 Ko)
Contient : califat (66)(...) • 2102 : La guerre de religion s ‘intensifie après l'assassinat du Grand Imam de Zandri par un groupe d'adeptes de Sangrif. • 2119 : A la bataille de Sankara (Califatde Kufra), les forces armées fidèles à Sangrif sont battues. Les adeptes du Purificateur entrent dans la clandestinité. • 2298 : Des raids gobelinoïdes détruisent de nombreux villages dans leCalifatd'Ashur. • 2317 : Sous le règne du Sultan Almar El Saïd « l'Incompétent » une demi douzaine de provinces déclarent leur indépendance vis à vis du grand Sultanat. (...)
Auparavant, seul le Grand Sultan avait le droit de frapper monnaie mais depuis les mouvements de Taïfas (l'indépendance de nombreuses provinces) d'autres royaumes ont acquis ce droit : Lecalifatde Kufra, l'émirat d'Al Haïkk et lecalifatde Ghafsa. En 2510, seuls ces 3 royaumes, ainsi que le Sultanat d'Arabie, sont autorisés à frapper monnaie. Lors des accords de Tul Hassam en 2221, la teneur en métal précieux de chaque pièce a été fixée et si un royaume s'avisait d'en changer cela ressemblerait fort à une déclaration de guerre La démographie de l'Arabie : Estimations générales : La superficie de la péninsule arabe est estimée par les géographes à 1,2 Millions de km² (à titre de comparaison, l'Empire mesure environ 820000 km²). (...)
Depuis 2347, ce traité a été appliqué deux fois : La première en 2402 pour lancer une expédition contre les tribus gobelinoïdes de l'est de l'Arabie (cette expédition fut en partie un échec), la seconde en 2486 pour combattre une horde de mortsvivants qui se livraient à un véritable carnage dans l'Emirat de Ka-Sabar et lecalifatde Ashur (sud est de l'Arabie). Les principaux types de combattants en Arabie : Le fantassin standard : C'est le type de combattant le plus courant, il est semblable au fantassin du Vieux Monde. (...)
Il existe une dizaine de Madraza dont certaines sont particulièrement réputées : • La Madrasa d'Abu Hamed (Califatde Kufra) pour l'apprentissage de l'astronomie et de la médecine. • Le Madrasa de Kamt pour l'apprentissage de la médecine. (...)
Ces convois sont souvent attaqués car la valeur de leurs marchandises attire les convoitises. Les royaumes de Taïfas : LeCalifatde Kufra : Présentation générale : LeCalifatde Kufra est le plus riche de tous les royaumes de Taïfas. Ce territoire a été le premier à obtenir son indépendance en 2032. (...)
En Arabie, portent le titre de Calife les personnes possédant, ou revendiquant, un lien de parenté avec les prophètes d'Ormazd). Depuis cette année 2032, leCalifatde Kufra est un territoire autonome prospère. En 2510, le Calife est Saadi V (un descendant d‘Imad Wahardi). (...)
C'est une plaine relativement fertile autour l'Aaar Satar, un fleuve long d'environ 300 km, prenant sa source dans l'Alkaréham, traversant leCalifatd'Est en Ouest et se jetant dans la baie d'Abu Hamed. Cette baie est le coeur historique duCalifat: Le prophète Ali y a fondé le port d'Abu Hamed pour relayer son pouvoir. En 625 , Des colonies d'elfes des mers mirent pour la première fois le pied en Arabie et installèrent des comptoirs dans la baie d'Abu Hamed et dans l'archipel situé au large. (...)
Après la vallée du Grand Fleuve, celle de l'Aar satar est le deuxième grenier à blé de l'Arabie, ce qui permet de nourrir l'importante population ducalifat. Les collines situées au pied de l'Alkaréham sont plantées d'arbres gigantesques dont le bois est très recherché pour les constructions navales. Cette richesse et la situation idéale de la baie d'Abu Hamed ont fait duCalifatde Kufra une puissance maritime de premier ordre. La soixantaine de galions du Calife n'a rien à envier à la flotte du Sultan. Puissance militaire, maritime et économique, lecalifatde Kufra a souvent suscité la jalousie de ses voisins au cours de l'histoire. Une longue guerre l'a opposée aucalifatde Ghafsa pour le contrôle des 4 îles situées à quelques encablures de la côte (1915-1936). Aujourd'hui encore, la flotte de commerce de Kufra a à souffrir des attaques fréquentes menées par les pirates d'Al-Haïkk. (...)
Le calife dispose pour se défendre d'une armée de 1500 soldats, d'un contingent d'un millier de mercenaires et d'une flotte de guerre de 60 vaisseaux. En ce qui concerne les étrangers, lecalifatde Kufra se démarque de ses voisins par une tradition de tolérance envers les populations non arabes. (...)
Les marchands étrangers sont nombreux à Abu Hamed et il n'est pas rare de rencontrer des voyageurs bretonniens, tiléens ou même germaniques dans les grandes villes duCalifat. Les principales villes duCalifatde Kufra : Abu Hamed : C'est une des plus belles et des plus grandes cités arabes. Les voyageurs l'appellent « La Cité Pourpre » en raison de ses murailles et de ses bâtiments construits avec une pierre rouge arrachée à la falaise. (...)
La vie d'Abu Hamed est rythmée par le trafic maritime : Les navires y déchargent leurs denrées diverses et chargent les céréales produites dans la région, du minerais venu de Nejaz ou Tambukta, du bois de l'Alkaréham et différents tissus fabriqués dans les fabriques ducalifat. Les 75 000 habitants d'Abu Hamed jouissent de la prospérité de la ville : Les pauvres y sont peu nombreux car le travail ne manque pas et les richesses affluent. (...)
Sankara : Située sur les bords du fleuve Aar Satar, à environ 170 km d'Abu Hamed, la ville de Sankara est située au coeur d'une grande plaine céréalière irriguée par les eaux du fleuve. La ville est avant tout un grenier à blé pour leCalifat. Sankara abrite également d'immenses scieries qui préparent le bois venu des collines de l'Alakaréham avant son expédition vers le port de Abu Hamed. (...)
La plupart des denrées agricoles est expédiée par le fleuve, sur de longs navires à fond plat. Djebel Esna : Troisième ville ducalifat, la petite ville de Djebel Esna est située entre Abu Hamed et Sankara et abrite une population de 8 à 9000 habitants. (...)
Les activités principales de la villes sont la production de textile (lin et chanvre) l'agriculture et l'élevage de chevaux. Les principaux édifices de la ville sont fait de la même pierre rouge que la capitale ducalifat. La ville n'est pas fortifiée. Seul le Ribat de Djedna, situé à deux kilomètres de la ville peut procurer un abri en cas de guerre. (...)
A l'intérieur, chaque pièce contient plus d'oeuvres d'art que ne pourrait en convoiter le plus avide des collectionneurs LeCalifatde Mahabbah : Présentation générale : Lecalifatde Mahabbah est un territoire situé sur la cote nord de l'Arabie. C'est un territoire dont l'essentiel de la population se concentre sur le littoral et en particulier autour de la grande cité de Mahabbah. Comme son voisin Al-Haïkk, lecalifatde Mahabbah est entièrement tourné vers la mer. Il fait d'ailleurs partie des 5 grandes puissances maritimes de l'Arabie (derrière le Sultanat, mais presque à auteur de Kufra, Al-Haïkk, et Ghafsa). (...)
Ensuite, la ville intérieure de El Mansurah s'est spécialisée dans l'exploitation de carrières de marbre, situées à proximité de la ville (les pierres de nombreux palais du nord de l'Arabie viennent de ces carrières). Par extension de l'élevage, le travail du cuir est devenu une spécialité ducalifat. De très nombreux vêtements en cuir sont fabriqués dans les tanneries de Mahabbah. Une autre grande richesse de Mahabbah réside dans la tradition de navigateurs de ses commerçants. (...)
Dans le domaine du commerce international, seule Kufra rivalise avec le port de Mahabbah. Enfin, la dernière richesse duCalifat, et non des moindres, réside dans la stabilité de ses institutions et l'efficace encadrement de sa société. (...)
La loi à Mahabbah est une affaire très sérieuse et l'on compte dans ce territoire un nombre impressionnant de juristes aux domaines de spécialité divers. La religion est comme dans toute l'Arabie celle d'Ormazd et lecalifatde Mahabbah se caractérise par la rigueur de ses pratiques religieuses (bien que le courant favorable à une Guerre Sainte soit très faible). (...)
Ici, la loi divine est respectée à la lettre. Il est donc rare de voir des étrangers sur le territoire duCalifat. Toutes ces particularités font de Mahabbah un territoire très stable où le crime ne paie pas (ou peu). Les principales villes duCalifatde Mahabbah Mahabbah : Capitale ducalifat, Mahabbah, est une ville prospère et calme. L'activité économique tourne autour du port de commerce et des nombreuses tanneries que compte la ville. Cette cité de 40 000 habitants est une véritable forteresse : Les remparts qui enserrent la ville sont aussi vieux que gigantesques : L'enceinte mesure près de 25 mètres de haut et est tellement ancienne que certains historiens la feraient remonter à l'époque de Fahal Sum (il y a plus de 3 500 ans). (...)
La cité est donc entourée d'une ceinture verte de près de deux kilomètres de rayons, où l'on cultive céréales, olives et fruits divers. Mahabbah est aussi un point de passage obligé pour les voyageurs et marchands venant duCalifatde Nejaz et de l'Emirat de Tambukta. Ces marchands font transiter notamment de l'opium, cultivé sur les pentes de l'Alkaréham ou du bois de construction, transporté sur de longs chariots et destinés au port de Mahabbah. (...)
Il a sous ses ordres une garnison de 150 soldats, dirigés par le Ka'id Ahmad Al Rifa. Simyra Petite cité située à l'Ouest duCalifat, Simyra est un oasis abritant une communauté de 5 000 habitants, dont les spécialités sont la poterie (grâce à la présence de terre argileuse) et l'élevage de chevaux. (...)
Le gouverneur Hamid Khirmani dirige cette communauté. Il a sous ses ordres une cinquantaine de soldats aguerris. LeCalifatde Ghafsa : Présentation générale : LeCalifatde Ghafsa est un territoire littoral, situé à l'Ouest de l'Arabie, au sud du richecalifatde Kufra. C'est une vaste plaine présentant deux visages : Au Nord se trouvent les villes les plus importantes (et notamment la capitale : Ghafsa), les plaines y sont fertiles car abondamment irriguées par un système de puits très profonds et de canalisations parcourant de grandes distances. L'ironie est qu'en surface, ce territoire est extrêmement sec, mais qu'il repose en fait sur une nappe phréatique (située à une grande profondeur) immense et presque insondable. (...)
Au coeur de ce paysage, le voyageur pourra apercevoir les ruines de l'immense cité de Iskandérès : Cette cité, bâtie vers l'an 1000, fut autrefois une capitale régionale très importante. Elle fut entièrement détruite lors de la guerre qui opposa Ghafsa auCalifatde Kufra au 20ème siècle. On raconte depuis que ces ruines sont maudites et qu'il est préférable de ne pas s'en approcher. (...)
Ghafsa, est une république de marchands, dirigée par des marchands : Officiellement, un calife dirige ce territoire, mais le dernier calife de Ghafsa connu est mort en 2101 : Depuis 500 ans, Ghafsa est dirigée par un Directoire, gouvernant le territoire en l'absence du Calife (absence qui risque fort de se prolonger étant donné que la lignée califale s'est éteinte il y a bien longtemps). La population duCalifatest regroupée au Nord, autour de quelques agglomérations, au coeur de cette vaste plaine agricole appelée « le Désert Vert ». (...)
La propriété de l'archipel de Djetin, à quelques encablures au large du port de Ghafsa, est partagée entre lecalifatde Kufra et celui de Ghafsa : Kufra possède les 2 îles au Nord et Ghafsa possède les deux îles les plus au sud. (...)
Il a pour fonction de ravitailler en eau potable les navires de la flotte de Ghafsa. Les principales villes duCalifatde Ghafsa : Ghafsa : Capitale et principale ville duCalifat, Ghafsa est un très grand port (le 3ème d'Arabie, derrière Siwa et Kufra pour le trafic de marchandises) et une ville énorme (plus de 60 000 habitants). Chaque jour, des navires chargent des denrées produites dans leCalifat(céréales, viande et poisson séché, artisanat divers...) et déchargent les denrées achetés dans les autres ports d'Arabie et dans les comptoirs des Terres du Sud. (...)
La garnison de la ville (450 soldats) est dirigée par Tadji Suyuti. Tarasselmen : C'est le principal centre agricole duCalifat. La ville de Tarasselmen est située au coeur du désert vert, à environ 80 km de Ghafsa. La cité est également le centre des infrastructures d'irrigations de la région. (...)
A proximité de la ville se dressent deux forteresses : L'Husun de Abaka (abritant un contingent de l'armée duCalifat) et le Ribat de Akhmin, où vivent une cinquantaine de Mudjahids). Hadjout : Deuxième centre agricole de la région, la ville de Hadjout est un important centre d'élevage et d'artisanat. (...)
Al-Mahbas : Située à 10 km de la frontière entre Debeqra et Songhai, la ville agricole de Al-Mahbas est un véritable camp retranché : la population (5 000 habitants) se regroupe tous les soirs derrière de solides murailles, le ka'id Youssouf Hadj dirige la communauté et commande les 100 hommes qui composent la milice urbaine. Un Ribat abritant une cinquantaine de Mudjahids se trouve au coeur de la ville LeCalifatde Nejaz : Présentation générale : Lecalifatde Nejaz est de loin le plus riche de tous les territoires montagneux de l'Arabie. les trois quarts de ce royaume de plus de 30 000 km² sont constitués de montagnes (le quart restant étant un désert aride vide d'hommes). Les habitants ducalifatde Nejaz sont des montagnards au caractère bien affirmé. Il y a 500 ans, les arabes ont colonisé la montagne de l'Alkaréham en chassant les derniers clans de gobelins qui y résidaient. (...)
. Aujourd'hui Nejaz tire profit des richesses offertes par la montagne : exploitation forestière (cecalifatest le premier exportateur de bois de construction), carrières, culture du pavot, élevage extensif, chasse, exploitation des mines de fer et de cuivre. (...)
Malgré la richesse du territoire, la vie n'est pas toujours facile en ces lieux, surtout à cause de la rudesse du climat (en hiver surtout) et du danger que peut représenter la faune des montagnes (Lion et ours des cavernes surtout) Les principales villes duCalifatde Nejaz : Nejaz : Capitale ducalifat, la ville de Nejaz est la moins élevée de toutes les agglomérations de la région, elle est située au pied de la montagne, dans une ancienne vallée glacière, aujourd'hui sèche. 12 000 hommes et femmes vivent derrière les murs de la ville, le calife Ali y réside dans un palais d'apparence modeste, mais qui s'enfonce dans le flan de la montagne (plusieurs pièces ont été creusées dans la roche et un passage souterrain mène à l'extérieur de la ville). (...)
La protection de la ville est assurée par une milice urbaine de 120 hommes commandés par le capitaine Ibrahim Ben Jazira : Al-Birkah : Ville de moyenne montagne, située à 1 000 mètres d'altitude, Al-Birkah est la capitale économique duCalifat, la plupart des denrées produites dans les montagnes sont acheminées vers cette ville avant d'être vendues à la population locale ou exportées vers les royaumes voisins. (...)
Autrefois réunis en un seul territoire, le golfe de Durbaïta est aujourd'hui divisé en 3 royaumes distincts : LeCalifatde Mèdès, l'émirat de Lugash et l'émirat de Al-Anaïm. Chacun de ces royaume est indépendant de ses voisins mais les familles dirigeantes sont cousines et il est arrivé par le passé que les trois royaumes soient réunis en un seul quand les héritiers viennent à manquer. (...)
Dans ces conditions, aucune agriculture véritablement intensive n'a pu se développer et l'habitat principal est constitué de petits villages de bois et de toiles, où les habitants pratiquent une agriculture d'autosubsistance et un élevage extensif. LeCalifatde Mèdès : Situé dans la partie occidentale du golfe, cecalifatest le plus riche de tous les royaumes de la région. L'essentiel du pays est constitué de savanes ou de déserts de rocailles. (...)
Les sécheresses (qui durent parfois plus de 10 mois) sont aussi dures à surmonter que les inondations catastrophiques qui peuvent survenir durant la saison des pluies (cette saison dure entre 1 et 3 mois selon les années). LeCalifatde Zoan : Lecalifatde Zoan est le plus ancien des royaumes de Durbaïta. Il fut fondé en 2160 par un cousin du sultan qui avait choisi l'exil plutôt que de renoncer à la divinité qu'il vénérait : Sangrif. En 2510, cecalifatest en grande partie sauvage : Le nord Ouest du pays est une région de steppes et de savane tandis que la région sud-ouest, bordée par le fleuve rouge, est le domaine de la mangrove. On y trouve également les principales communautés (dont la capitale Wadi Haïfra). (...)
On trouve encore quelques villages sur pilotis en bordure du fleuve mais ils se font de plus en plus rares car les maisons résistent mal aux crues et les hommes subissent les maladies véhiculées par les moustiques de la mangrove La capitale ducalifatde Zoan, Wadi Haïfra, apparaîtra au voyageur comme un enchevêtrement d'habitations de bois, plus ou moins précaires. (...)
Il faut noter que, de part et d'autre de l'estuaire du Fleuve Rouge, la côte est une mangrove gigantesque et inhabitable. LeCalifatde Agade : CeCalifatfut fondé par Isham, le frère de Banu Al Mussur (qui fonda leCalifatde Zoan). Ce territoire est situé sur les rives sud du Fleuve Rouge. Géographiquement, il présente le même visage que son voisin du nord (forêt et mangrove près du fleuve, savane et steppes vers le Sud). La particularité ducalifatde Agade est d'être à la frontière des terres du Sud, peuplées de Sudrons à la peau noire. A ce titre, on rencontre de nombreux Sudrons dans cette région (certains sont des esclaves, d'autres sont des hommes libres). Les villages de pêcheurs et d'agriculteurs présentent le même visage que dans leCalifatde Zoan. La capitale est la ville de Al-Jawarah. Cette cité de 6 000 habitants est entièrement sur pilotis, sur la bras sud du Fleuve Rouge (à près de 100 km de son estuaire) Cette ville entièrement en bois abrite le modeste palais du Calife Ma'ad Al Din, qui dirige la ville et l ‘ensemble duCalifat. La vingtaine de navires de guerres qu'il possède sert à défendre la ville. Sur les rives du bras sud du Fleuve Rouge, les voyageurs pourront apercevoir les ruines de nombreuses nécropoles en forme de pyramides à degrés . (...)
En s'éloignant des rives du fleuve Rouge, l'émirat présente un visage de dunes à perte de vue :. C'est le début du Grand Désert d'Arabie. LeCalifatde Ashur : Front pionnier de l'expansion arabe, lecalifatde Ashur est le plus septentrional des royaumes d'Arabie. il fut fondé en 2290 par un des fils cadet du Sultan Ali Al Musafir. (...)Présentation générale de la péninsule arabique : Un territoire aride et peu accueillant L'Arabie reste aux yeux des habitants du Vieux Monde une terre étrange, pleine de mystères et de dangers. Cette terre aride est aussi connue sous le nom de Grand Désert du Sud. Et cette réputation n'est pas usurpée : ce territoire plus grand que l'Empire bénéficie d'un climat extrêmement chaud et sec en plaine. Le climat des montagnes d'Arabie n'est guère mieux : Il est aussi sec que glacial. Mais l ...