La Malédiction du Trône écarlate : le Guide du Joueur
sur Black Book Edition au format
Contient : population (6)(...) La cité en perdit près de dix mille dans le chaos de l'époque, mais au cours du siècle dernier, elle en a regagné près de la moitié. En raison de cette baisse rapide de lapopulationet de la lente expansion qui s'ensuivit, nombre des quartiers riches de la ville restent sous-peuplés. (...)
Il abrite le Nombreux Panthéon, un temple colossal dédié à la majorité des divinités les plus populaires d'Avistan. Lapopulationde ce district est surtout composée de nouveaux riches korvosiens espérant échapper aux conditions de vie étriquées que l'on trouve dans les autres quartiers. (...)
Evêque de la cathédrale de Pharasma, Keppira est en charge du district de la Grisaille et veille à ce que lapopulationde morts-vivants de la ville reste minime. Pilts Swastel. Pilts possède et dirige Les Exécrables exemplaires de la Vieille Korvosa, un théâtre qui attire les personnes à la recherche de divertissements pervers ou moralement douteux. (...)
Les informations suivantes viennent le compléter et donnent des détails sur la manière dont elles influent sur la ville qui sert de décor à la Malédiction du Trône écarlate. LES RACES : Prenez n'importe quel échantillon depopulationde la ville et vous verrez que sur dix habitants, neuf sont humains. Les humains dominent à Korvosa. A tous les niveaux. Ils forment l'écrasante majorité de lapopulation. Mais ils ne sont pas non plus les seuls habitants de cité, comme tout visiteur s'en rendra vite compte. (...)
Minorité ethnique la plus importante de la ville, les Varisiens de sang pur ne représentent qu'un humain sur dix, sachant toutefois que plus de la moitié de lapopulationpossède du sang varisien. Nombre de traditionalistes korvosiens considèrent les Varisiens de sang pur comme des voleurs et des assassins habillés de couleurs vives, et les préjugés à l'encontre de ce groupe se transforment parfois en lynchage ou en expropriation quasi-légale. (...)BIENVENUE À KORVOSA : Korvosa a longtemps été le premier bastion de la civilisation sur la frontière sauvage de la Varisie mais les tragédies semblent déjà hanter sa lignée royale. Ses dirigeants règnent rarement longtemps et aucun n'atteint un âge avancé. Tous meurent brutalement. Les héritiers du trône sont peu nombreux et de parenté éloignée : au cours des trois cents ans d'histoire de la ville, aucun roi n'hérita directement du trône écarlate de son père. Voilà la source de bien des rumeurs ...