Irish Coffee
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Contient : patron (6)(...) Ce n'est presque que par hasard qu'ils verront cette petite gargote un peu dissimulée dans une rue secondaire. Leurpatronindiquera le nom d'une balance dont il aimerait bien se débarrasser, à partir du moment où il apprendra que les flics enquêtent sur un autre flic. (...)
Bien que sur-bookée (comme elle aime à le répéter), elle trouvera toujours un peu de temps à te consacrer. Mais comme elle sait que c'est réciproque, tout va bien. Andrew Norton : Il est lepatrond'Easy Target, la plus grosse armurerie de Downtown, un vrai supermarché de l'arme. On peut, sous prétexte d'aimer la chasse ou les armes de collection, acheter ce qu'on veut, du canif à la mitrailleuse lourde, en passant par un tank, lorsque l'armée déstocke. C'est là que tu as récupéré ton hummer. Lepatront'a à la bonne, puisque son frère a servi avec toi en Amérique Centrale, et t'a vu en 'furie'. (...)
Poncho et Fidel se révélèrent vaillants, énergiques, et surtout animés d'une grande envie de réussir aux USA. Ils se firent remarquer par le capitaine du navire, qui parla d'eux à sonpatron. Le jour précédant leur arrivée à LA, Juarez convoqua les deux frères dans sa cabine privée, aussi spacieuse et luxueuse qu'une chambre d'un hôtel international. (...)
Juarez ne s'était plus intéressé à eux pendant deux ans, jusqu'à ce que... le père des deux frères fit son apparition dans la maison de leur employeur. En discutant avec certains de leurs amis gardes du corps du grandpatron, Fidel et Poncho apprirent que leur père et Juarez entretenaient depuis plusieurs mois des relations tendues, au sujet de problèmes de cargaison de déplorables, voire inutilisables. (...)
Fidel avait réussi à oublier les mauvais traitements, la misère morale dans laquelle ils avaient vécu et désirait plus que tout ne pas être confronté à son passé ; il évitait son père. Poncho avait d'autres idées en tête. Sans en parler à son frère, il alla voir sonpatronet lui offrit de révéler tout ce qu'il savait sur la famille de son père,, une famille qu'il avait abandonnée, et dont il voulait se venger. (...)Ce scénario a été écrit pour la Convention des Alchimistes de Strasbourg (à laquelle il a fini à la seconde place) pour des personnages assez expérimentés. Il est volontairement orienté vers l'action pour montrer le potentiel du jeu et les moyens mis en place pour arriver à boucler le scénario pourra dérouter des MJ habitués aux petites enquêtes... James O'Flaherty, dit 'l'Ours', Sergent II exerce avec zèle son métier d'armurier du COPS. Cet irlandais de cinquante ans règne en maître sur ...