Exploration des Jeunes Royaumes
sur Le Scriptorium au format (374 Ko)
Contient : prêtres (2)(...) Il est vrai que la cité a traversé de maints cycles de prospérité et de foi : d'un âge païen, à l'époque où Imrryr ne portait pas encore son nom et où l'Empire Glorieux n'était pas encore formé, en passant par une époque où les dieux furent rejeté, jusqu'à l'ère actuelle où tous les Dieux, de la Loi comme du Chaos, sont accueillis avec la même joie. Lesprêtresde cet âge religieux créèrent alors) une grande université au coeur de Séred Oma et ce fut à partir de ce moment que les arts, encouragés à la fois par la Loi et le Chaos, prirent une telle importance dans la culture Na'äne. L'université est toujours debout, même si celle-ci et lesprêtresqui l'ont fondée ont perdu de leur prestige alors que les Seigneurs d'en Haut, sans être rejetés, ne sont plus considérés comme essentiels à la créativité. (...)Au fil des années, Michael Moorcock a mentionné de nouvelles cités et contrées, de nouvelles cultures capables de rivaliser avec Melniboné, et a développé des thèmes centrés plus sur les personnages et les mythes que sur le détournement des clichés de la fantasy qui prévalait aux débuts de la saga d'Elric. Cet article explore deux cités des Jeunes Royaumes mentionnées dans le roman « La Fille du Voleur de Rêves » et la nouvelle « Un Portrait en Ivoire. » La première ville ...