Les Cendres de la Vengeance
sur Qin - la légende au format (50 Ko)
Les quartiers marchand et ouvrier de Xianyang, sont plongés dans une agitation surnaturelle. Un maitre-artisan et créateur de la coalition ouvrière, nommé Men Bing sent depuis quelques mois germer en lui les graines de la révolte. En effet, sa femme a subi la cruauté de Fan Cheng, le fils du magistrat du quartier marchand, et de son complice, le commandant de la garnison du quartier ouvrier Yam Ji Kue. Men Bing, fou de rage et de haine, a mis en place un plan visant à renverser une fois pour ...Contient : défense (4)(...) La nuit précédente, Men Bing sous sa forme de loup, se glissa dans la chambre de la courtisane Li par la fenêtre entrouverte et massacra Yam Ji Kue alors qu'il était en sa compagnie et sansdéfense. Lorsqu'elle aperçu le loup, elle cria à l'aide, et la garde, occupée à boire dans le tripot en charmante compagnie, accourut après de longues minutes, mais Yam Ji Kue était déjà mort. (...)
Il veut être sur que cette mort n'est due à aucune influence étrangère (nation) car étant le commandant de la garnison du quartier, Yam Ji Kue était en possession d'informations importantes pour ladéfenseet l'administration militaire de la ville. Il leur explique ensuite qu'une cellule d'investigation a été mandatée par le magistrat Ti Kong du quartier des ouvriers pour résoudre cette affaire. (...)
· Dans de nombreuses affaires opposant l'une des 5 personnes contre des roturiers ou des personnes pauvres du quartier, Yam Ji Kue était assez souvent opposé au juriste Min Huong qui prenait ladéfensedes accusés. · Devant l'abondance de témoignages présentés par Yam Ji Kue lors de ses plaidoiries, et le fait que les accusés plaident toujours « coupables », les juges n'ont souvent pas le choix que d'appliquer la sentence qu'il préconise. (...)
· Bien que Maitre Min Huong ait gagné de nombreuses plaidoiries, lorsqu'il perdait, les dossiers de ladéfenseétaient tout de même toujours bien fournis et sérieusement travaillés. Test de loi à 9 pour arriver à cette conclusion. (...)