Sur les Traces du Diable
sur Club Table Ronde au format (424 Ko)
Contient : yeux (8)(...) On n'en voie pas grand-chose de plus, dans la ruelle ou il s'est engouffré avant de s'apercevoir qu'elle ne donne nulle part. Puis lorsqu'il se retourne, on vois sesyeuxbriller à la lumière des torches. Desyeuxrond et pleins ! Cette vision, à elle seule, fais fuir d'éventuels passant qui auraient suivi les personnages. La créature est acculée. (...)
N'hésitez pas à exagérer les exploits des trois hommes, à rendre la créature bien plus immonde et agressive qu'elle ne l'à jamais été. Rajoutez lui des ailes, des crocs, desyeuxbrillants de vilénie... Bref, faites-en le démon dont tout le monde commence à parler en ville. Comme nous le savons, il n'est rien de tout ceci qui soit vrai. (...)
C'est d'autant plus vrai que lorsque la place est libérée des « monstres » de nombreux curieux affluent pour voir ce qu'il en est de leurs propresyeux. A cause des radiations, les badauds tombent rapidement malade. On assiste très souvent à des malaises. (...)
Françoise attendit longtemps avant d'oser sortir. Elle fût effrayée par le spectacle morbide s'offrant à sesyeux. Pourtant elle eut la présence d'esprit de rassembler quelques affaires et de partir se réfugier ailleurs... Sans véritablement savoir ou. (...)
Leur corps est recouvert d'écailles pouvant aller du brun clair en passant par des verts très soutenus, presque noirs, en passant par différentes teintes de marrons. Leursyeuxsont noirs et dépourvu de pupilles. Il arrive que des crocs dépassent des babines, mais seuls les plus belliqueux des Zoriens se montrent ainsi en publique. (...)
Il porte un masque de bois peint de rouge sombre de tel sorte qu'il donne l'impression que du sang séché à coulé depuis les orbites desyeuxet de la bouche. Maintenant convaincu que Lucifer existe, le Père Juda se comporte de manière hautaine, autoritaire et despotique. (...)
Mais il reste mon père, et il pense à moi comme le prouve son cadeau. Je vais continuer à prier pour qu'il se porte bien, et qu'il ouvre enfin lesyeuxsur mes désirs. Le Seigneur ne m'abandonneras pas. L'an 1657, seize juin : Il y a eut de l'imprévu dans la journée de Père. (...)Un soir tranquille, les personnages sont averti que le Diable rode dans les rues de Paris. S'en inquiétant ils rencontrent un Galérien qui leur échappe une première fois. Enquêtant à son sujet, les personnages ne rencontrent que des fausses pistes, jusqu'à ce qu'un cadavre les mènes à une secte satanique. Alors que cette secte semble être encore une impasse, ils assistent à l'asservissement de la secte par un autre Galérien. Fuyant encore, ils ...