L'auberge du pas du boeuf
sur Editions John Doe au format (12.6 Mo)
Contient : yeux (6)(...) Mmmm, ce doit être encore ce petit gredin de Liviano. Bien qu'il me tourne son dos, je peux deviner sesyeuxde fouine scrutant les formes féminines de Fandoline. Je crois que c'est la chose qui m'insupporte le plus en ce monde. (...)
Voilà qu'il enguirlande la pauvre Fandoline parce qu'elle ne remplit pas sa tâche assez vite ! Je vois dans sesyeuxqu'elle retient ses pleurs. Cependant, je la connais suffisamment pour savoir que sa fierté l'empêchera de verser la moindre larme en présence d'un tiers. (...)
Elle est gardée par trois chiens dit-on, qui vous laisseront descendre mais jamais remonter. Le premier a desyeuxgrands comme des soucoupes, le deuxième a desyeuxgrands comme des boucliers, le troisième a desyeuxgrands comme des roues de chariots. Et leurs dents sont à la mesure de leur regard ! Certainement, certains jours, on entend comme des gémissements ou des aboiements qui s'en échappent. (...)
Ses longs cheveux roux, sa peau souple et délicate, ses seins rondelets et ses hanches hypnotiques, sesyeuxgris aux long cils recourbés, sa bouche épaisse et éternellement retroussée en un petit sourire magique ! (...)Moi, dans le temps, §à l'époque où il y avait encore des vrais journaux pour rôlistes, ce que j'aimais le plus, c'était les articles comme ‘Devine qui vient dîner' ou ‘le Gwô et Millord' dans Casus Belli, ou les super encarts dans Chronique d'Outre-monde. Quel plaisir, chaque mois, d'avoir des bouts d'univers, des morceaux de fragments d'imaginaire, des parcelles d'invention ! Alors voilà, maintenant, à une moindre échelle, voici les ‘linceuls de poche': des petits trucs variés et variables ...