Le Duché du Nord
sur Editions John Doe au format (6 Mo)
Voici la première des grandes aides de jeu prévues pour Plagues : la description du Duché du Nord, en détail et en entier. Pour cela, vous trouverez une carte du duché, recouverte d'hexagones numérotés. Ces numéros sont directement utilisés dans les textes pour repérer les lieux et les localisations géographiques. Libre à vous d'utiliser le même principe pour poser vos propres créations dans la trame officielle !!! La carte est détaillée par hexagones de 24 km. Considérez que, vues les conditions ...Contient : population (5)(...) La justice du duché pousse les brigands à marauder plutôt vers le Protectorat. La Porte de Fer peut être un bon lieu de départ pour une campagne. Lapopulationest assez hétérogène, les dangers nombreux et les factions locales assez actives. De plus, les conceptions différentes, concernant l'esclavagisme, entre le Protectorat et le Duché (où l'esclave est plus un serf qu'une marchandise) provoquent souvent des tensions diplomatiques. (...)
On y entre uniquement par la partie basse au terme d'un périple long et dangereux. Même si c'est la capitale actuelle du Duché, lapopulationde ce havre est moins importante que celle de la Porte de Fer. L'autre grande différence tient à l'architecture, plus typique, du Duché du Nord. (...)
D'ailleurs les portes du havre nain sont, à ce jour, fermées aux hommes de l'ordre (un PJ de cette classe pourrait être le premier à les franchir). Lapopulationlocale se compose pour l'essentiel de soldats, de convoyeurs, de marchands et de mercenaires perdus. (...)
Les esclaves sont rarement autorisés à entrer en ville, sauf pour y convoyer de la paille, du grain ou des fruits. Lapopulationest donc essentiellement composée de marchands, de soldats et de petits nobliaux rattachés aux Roald. (...)
Mal lui en pris, car les villageois avaient raison. Ceillian profita d'avoir les mains libres pour lancer un sort qui calcina toute lapopulationsauf le héros. Pérath, fou de douleur, tua la sorcière. Cette dernière tomba en riant, déclarant que même morte, elle répandrait le mal et la douleur. (...)