Inspirations pour Hellywood
sur Editions John Doe au format (4.5 Mo)
Voici donc le deuxième article de notre série « En attendant Hellywood ». Et tant qu'à attendre, autant meubler le temps intelligemment, par exemple en se cultivant un peu... Et ça tombe d'autant mieux que la raison d'être d'Hellywood est sa référence à un genre littéraire et cinématographique bien particulier, le polar noir ou « hardboiled ». Nous avons donc décidé de lister dans ce numéro de Body Bag les inspirations essentielles pour bien comprendre de quoi parle le jeu. La quarantaine de ...Contient : musique (3)(...) Miles Davis : Ascenseur pour l'échafaud - 1957 : Trompettiste à la réputation sulfureuse, plus tard surnommé le « prince des ténèbres », Miles Davis est le jazzman idéal pour mettre enmusiquele Noir, comme lorsqu'il enregistre cette B.O. mythique pour le film de Louis Malle. Quelques longues et sublimes notes susurrées à l'embouchure de son instrument pour déchirer la nuit : on s'y croirait. (...)
Pour dire, l'ouverture ferait même un excellent générique ! Charlie Parker : Bird and Diz - 1950 : On ne peut pas parler de lamusiquedans Hellywood sans parler du be-bop et on ne peut pas parler du be-bop sans parler de Charlie « Bird » Parker, l'étoile filante, la comète trop pressée de jouer comme de mourir. (...)
Memphis Slim : Every Day I Have the Blues - 1948 Plus vraiment du blues, et pas encore du rock, Memphis Slim est le représentant du Rythm and Blues, unemusiquerauque, cuivrée, groovy et passablement surchauffée. Pour savoir ce sur quoi on danse dans le ghetto noir d'Hellywood. (...)