Vivre en Exil
sur Ballon-Taxi au format (1.6 Mo)
La société exiléenne : Façonné par l'histoire si particulière de sa cité, l'esprit exiléen peut sembler déroutant à un étranger mal préparé. L'exiléen doit combattre quotidiennement la peur originelle de l'obscurité, qu'il commue en farouche croyance envers Administration et l'Ingénierie qui régulent sa vie et ne laissent pas de place, selon lui, au hasard. Aspirant à la liberté, il a toutefois du mal à étouffer en lui le souvenir que sa cité est basé sur la rébellion, celle de ses ancêtres ...Contient : combats (3)...des pauvres possessions calcinées des habitants. Le centre ville, défiguré, fut l'objet de terriblescombatsde rue. Les réfugiés des campagnes environnantes s'entassent ici, dans des conditions d'hygiène... [Détails]La Déferlante : Une plate-forme de pêcherie
sur Royaumes d'ailleurs au format (9.8 Mo)
Contient : combats...soldats, toujours hyperactifs. Ils assurent la défense de la Déferlante avec hargne et rage dans lescombatsaériens grâce au ballon-taxi aménagé pour la défense du socle. Ils font cracher la mort grâce... [Détails]Balayée par les vents et les flots sans relâche, elle se tient debout vaille que vaille malgré son grand âge et les outrages que lui fait subir océan Noir. Elle, c'est la Déferlante, cette antique et vénérable plate-forme de pêcherie, l'une des premières à trôner fièrement sur son socle d'obsidienne. Serban Radu, Monsieur le Directeur d'exploitation. Présentation. Cette aide de jeu présente un lieu particulier et animé de la vie socio-économique exiléenne. Un endroit coloré et exotique qu ...
Indépendant exiléen #1
sur Ballon-Taxi au format (2.7 Mo)
Contient : combats...renvoyé au sol. Cette agressivité n'est rien, l'horreur concerne les paris qui se trament autour de cescombats. Les jeunes nobles y jouent avec la vie des gens issus de rien, ils agrémentent leurs paris... [Détails]Un mot de notre directeur : C'est avec un plaisir non dissimulé que je vous livre ici notre cinquième compilation annuelle. Bien entendu, le choix fut diffi cile, parfois déchirant : notre Indépendant vit au rythme du souffl e d'Exil, et c'est avec la même fi erté quotidienne que je me saisis du premier exemplaire sorti des rotatives. Il n'y a pas, à mon sens, de « petites histoires » ou de « nouvelles insignifi antes ». Notre cité vit, respire et frisonne et notre journal s'en veut ...