L'aumônière écarlate
sur Asmodée au format (353 Ko)
Contient : contrôler (2)...- Non ! Mère, ne me laissez pas ! s'écria le jeune homme. Que ferai-je sans vous ? Qui m'apprendra àcontrôlerles flammes, si vous n'êtes plus ! La mourante souleva péniblement les paupières, leva une... [Détails]Une nouvelle de Charlotte Bousquet Rouge, orange, ocre, or... Le corps de la danseuse se tordait tel une flamme au son des tambourins. Sa peau brunie par le soleil se chargeait de reflets cuivrés et ses yeux, noirs, intenses possédaient l'éclat presque insoutenable de la neige des montagnes de la région à leur zénith. Seule au milieu de la piste, elle se laissait porter par la musique, oubliant son public, perdue dans les harmonies des mélodies, de ses rêves, de ce que son âme exprimait ; le ...
L'araignée de glace
sur Asmodée au format (159 Ko)
Medico, 1666. La tisseuse à la fourrure de velours bleu nuit avait élu domicile près de la grande fenêtre de la chambre. Immobile au milieu d'un piège semblable à un flocon de neige, elle guettait, patiente, les proies imprudentes qui finiraient immanquablement par se prendre dans ses rets. Le reflet d'un rayon de soleil joua quelques instants sur le pelage de la créature, la parant de l'éclat d'un saphir. Un papillon aux ailes multicolores se posa délicatement sur la toile, tenta de repartir ...Contient : contrôler (2)...Avouez que vous n'avez eu de cesse de briser ma vie - ainsi que celle de Léa - à défaut de pouvoir lacontrôler. Avouez que ce mariage n'a d'autre dessein que de me voir souffrir et d'humilier un peu plus... [Détails]Rendez-vous
sur Le Capharnaüm de Grolf au format (3.7 Mo)
Contient : contrôler...écria-t-elle en se tournant vers lui. Alors, comme s'ils étaient mus par une force qu'ils ne pouvaientcontrôler, ils se rapprochèrent l'un de l'autre et leurs lèvres s'unirent en un baiser passionné.... [Détails]La nuit avait drapé de son voile d'obscurité les rues de Casigula Rosa. Les venelles étaient sombres, mal éclairées et pourtant - peut-être étaient-ce les centaines de jouvenceaux ailés promenant leur doux regard sur la ville, peut-être étaient-ce les fragrances de laurier-rose et de jasmin portées par la brise, peut-être étaient-ce, tout simplement, les lumières, les rires et la musique qui s'échappaient des tavernes et des trattories de Palazzo Vecchio ? - nulle crainte n'oppressait le coeur ...