« Mon Meilleur Ennemi », le thriller à la sauce « Crimes
»sur Petit Peuple
Contient : scène (7)...l'attaque d'un pauvre bougre par un sinistre individu, silhouette à peine humaine. Plus on observe lascèneplus le malaise s'installe : L'agresseur porte-t-il un masque de théâtre de Scapin. La distorsion... [Détails]Première (et sûrement dernière) rencontre avec Lépine : On m'a enfin laissé rejoindre les bras de Morphée. Ce trou à rats prend à mes yeux des allures de paradis : non pas que le matelas troué de ma chambre soit des plus confortables, non pas que cette fine couverture militaire m'ait beaucoup réchauffé, mais je peux au moins y dormir à l'abri du vent et de la canaille. Je chercherai plus tard quelque chose de plus luxueux. Pour une raison des plus évidentes, Lépine ne semble guère m'apprécier ...
« Crimes », l'Écran – « La Fabrique de l'Horreur »
sur Petit Peuple
Contient : scène (5)...sombre, et on sent bien l'atmosphère de « Crimes ». Posons l'écran à plat et observons. A gauche, unescènede crime : un meurtre que l'on vit en direct... Un tueur monstrueux étranglant sa victime. L... [Détails]Je serai honnête avec vous, comme vous le fûtes jadis avec moi. Je me souviens encore de vos mots, lors de notre première rencontre : « J'ai toutes les raisons de vous hair. L'homme qui m'a appris votre langue était un prêtre français, tout comme vous. Il ne connaissait pas la morale, ma mère en aura fait les frais. De plus, je suis protestant, et je n'accorde pas le moindre respect à votre religion ». Comme mon sourire a dû vous surprendre et vous intriguer ! Vous le savez aujourd'hui, j'aime cette ...
Crimes : Sous les pavés de Paris
sur Petit Peuple
Contient : scène (5)...plus nette, mes yeux s'habituant à la pénombre qui noyait la ruelle. Soudain, mes yeux accrochèrent unescèneque mon esprit refusa tout net de toutes ses forces. J'ai eu beau ne pas vouloir y croire,... [Détails]Je venais de pister la « Bête » durant de longues heures. Les nerfs à vif, je ne ressentais pas le froid mordant de cette nuit d'hiver. Un regard vers mon arme et je remarquais que ma main était agitée de soubresauts. Respirant à fond, j'essayais de calmer mon angoisse. Si seulement j'avais un verre de cognac sous la main... Le bruit métallique d'un objet chutant à terre résonna dans la noirceur de la ruelle dans laquelle la « Bête » était entrée, puis le bruit mat d'un corps tombant à terre. Je pouvais ...