Paris aux mains des Ventrues de Rome (2)
sur Maëlkavian
Tumultes à Paris : Quelques années plus tard, les Toréadors de France ne purent empêcher le pape Alexandre II de donner son accord aux Normands pour l'assaut contre l'Angleterre. En 1066, les hommes de Guillaume débarquèrent à Pevensey et gagnèrent la bataille de Hastings. A Noël, Guillaume fut sacré roi d'Angleterre : les Ventrues de Garibald bénéficiaient d'un soutien inespéré dans leur lutte contre Alexandre et Saviarre. Les Brujahs de Quintilius firent à nouveau parler d'eux en investissant ...Contient : vieux (4)(...) Derrière lui, plusieurs Brujahs dont Erchinoald qui n'avait jamais vraiment quitté du regard les progrès de son ami Garibald de Normandie. Levieuxmotif de la vengeance à l'encontre d'Alexandre s'était apaisé et sa colère s'était tarie ; c'est en politicien qu'il suivit de très près la progression des forces allemandes. (...)
Mais l'ombre de l'ancien Mithras rendait de plus en plus incertaines les conjectures portant sur l'évolution des conflits. LevieuxVentrue gagnait chaque nuit un peu plus d'influence : les rapports des Fidèles à Saviarre décidèrent Alexandre à sortir de son mutisme et à s'entretenir avec ses lieutenants Thibaud, Sigebert et Conrad. (...)
Garibald suspecta même Alexandre d'avoir ordonné le meurtre de Beckett afin de discréditer le roi anglais. La chute de Henri fut précédée d'une trève établie entre Philippe et levieuxroi en 1187 qui déboucha sur une décision sans appel : Alix, demi-soeur de Philippe, fut promise à Richard ; elle pouvait rapporter à la couronne de France l'Aquitaine et le comté d'Anjou. (...)
Ce dernier ne lui offrait pas sa confiance par conviction mais parce que la supériorité du Royaume de France se confirmait et qu'il désirait y être rattaché. Au moins la sincérité de cet aveu clarifiait les motivations duvieuxBrujah. Saviarre et Alexandre se laissèrent le temps de la réflexion et proposèrent à Klara de séjourner à Paris. (...)