Le Journal de Pochikalaan
sur Chez Demehet au format (158 Ko)
Avant propos : Plus que de révolutionner la littérature française, les pages qui suivent entendent être un récit fidèle des péripéties de quelques héros en un monde nommé Glorantha. Cependant, encore faut-il s'entendre sur le sens du mot « fidèle ». C'est pourquoi l'auteur tient à préciser que certains passages, tant pour des besoins d'écriture que de cohérence du récit ont du être un peu « revu » par rapport aux faits qui furent réellement joués. Néanmoins, que les protagonistes de cette histoire ...Contient : méfiance (3)(...) Devant nos mines curieuses et étonnées, il ajouta qu'il s'agissait d'un esclave en fuite ! Dès lors notreméfiancefut éveillée, il était étrange qu'un marchand voyage seul en Dorastor, qu'il nous parle d'un esclave nommé Erian et que les Lunars se soient lancés à la recherche d'un seul esclave alors que les dangers de la région auraient tôt fait de se charger de lui. (...)
Selon lui d'autres factions de l'empire pouvaient elles aussi intéresser des gens tels que nous : il cita entre autre Le Culte de la Lune Blanche une sorte de police intérieure, le Service de Reconnaissance de la Nouvelle Lune, qui est chargé de l'analyse de Genertéla, la Garde Rouge qui forme de jeunes hommes aux métier de soldat, la Nouvelle Ecole d'Alcott qui se chargerait de l'espionnage des missives, et d'autres encore dont je n'ai retenu que les noms, la Culte de la Lune Bleue, le Réseau Solaire, la Griffe Rouge et l'OEil de la Fille... Soudain, alors que notreméfianceétait endormie par ses paroles, je réalisais qu'Erian s'apprêtait à jeter un sort. Cédant alors ma crainte suspicieuse, j'abattis ma hache sur le cou de l'homme qui fut quasiment décapité net. (...)
Un bruit sourd commença à se faire entendre tandis que des ailes dorées se déployaient de part et d'autre de la partie centrale. L'engin pouvait donc voler ? ? ? Ashra et Galaor regardaient avecméfiancecette machine étrange mais Auric, surexcité, bondit à l'intérieur de l'habitacle : Allons-y, essayons-la ! (...)