Le Journal de Pochikalaan
sur Chez Demehet au format (158 Ko)
Avant propos : Plus que de révolutionner la littérature française, les pages qui suivent entendent être un récit fidèle des péripéties de quelques héros en un monde nommé Glorantha. Cependant, encore faut-il s'entendre sur le sens du mot « fidèle ». C'est pourquoi l'auteur tient à préciser que certains passages, tant pour des besoins d'écriture que de cohérence du récit ont du être un peu « revu » par rapport aux faits qui furent réellement joués. Néanmoins, que les protagonistes de cette histoire ...Contient : montré (4), montre (2)(...) Le chef, Rénékot qui est Than des Tempêtes, un homme plus âgé du nom d'Estin Forbek, Al le Charpentier, ainsi que Bérat, le garde qui nous a ouvert les portes et qui nous tient à l'oeil. Après avoir discuté etmontrénos bonnes intentions, Rénékot a mis à notre disposition une ferme laissée vacante dans le village et nous a invité à participer au conseil qui aura lieu ce soir. (...)
Naturellement c'est vers l'auberge d'Adolf Heinser qu'ils ont aussitôt dirigé leurs pas. Après leur avoir servit une copieuse collation, le patron s'estmontrédisposé à répondre à leurs questions. Selon Adolf Heinser, l'année actuelle sur Genert est la 372e après le Cataclysme. (...)
Mais qu'en pensent tes compagnons ? Je vois ton ami Pochikalaan se raidir et le sage Irssin lui aussi nemontrepas grande satisfaction à cette idée. - Quel est le sens de la rune mêlant les symboles Aldryani et Mostali que nous avons aperçue dans le passage menant ici ? (...)
Là, leurs sages nous ont écoutés et ont ordonné à l'un d'entre eux, Morienn de nous accompagner à Boldhome afin d'examiner la comtesse. Morienn a examiné Dame Eliabelle est s'estmontrétrès inquiet. Le poison qui a été utilisé est effectivement d'origine alrdyani, mais plus précisément ce sont les Voralanes qui le produisent ! (...)
A leur retour, nos amis se sont reposés quelque peu et nous leur avons conté notre journée d'hier. A l'exposé de notre rencontre avec la fille de Godunya, Irssin s'estmontrétrès intéressé et a décidé d'aller trouver les samouraïs afin de discuter avec leur maîtresse. (...)
Je me précipitais sur les remparts afin de jauger la situation. Les choses étaient claires : nos adversaires faisaientmontrede leur puissance afin de nous impressionner et de nous démoraliser. A voir les boldhomites courir en tous sens, les enfants pleurer ou les visages pâles et effarés des soldats, je réalisais que les premiers signes de découragement se faisaient déjà sentir. (...)