Le Journal de Pochikalaan
sur Chez Demehet au format (158 Ko)
Avant propos : Plus que de révolutionner la littérature française, les pages qui suivent entendent être un récit fidèle des péripéties de quelques héros en un monde nommé Glorantha. Cependant, encore faut-il s'entendre sur le sens du mot « fidèle ». C'est pourquoi l'auteur tient à préciser que certains passages, tant pour des besoins d'écriture que de cohérence du récit ont du être un peu « revu » par rapport aux faits qui furent réellement joués. Néanmoins, que les protagonistes de cette histoire ...Contient : noire (5)(...) Ces deux femmes-oiseaux aux traits horribles, marqués par le chaos et à l'odeur nauséabonde parvinrent à me blesser, mais nous pûmes néanmoins gagner le couvert d'une forêt. Il faisait nuitnoire, les rayons de la lune rouge ne parvenaient qu'à grand peine à traverser les branches. Et pour couronner le tout, des cris de loups s'élevèrent bientôt de part et d'autre. (...)
Cette fois encore leur stupéfaction fut grande, un homme de grande taille, encarapacé dans une cotte de maillenoiremarchait à la tête d'une quinzaine de morts vivants. Or, cet homme était visiblement un Humakti ! (...)
Elles enlèvent les enfants, s'en prennent au bétail. Plus surprenant encore, elles obéiraient aux ordres d'un homme en armurenoire, un étranger au village, qui était réputé décédé. Ce disant, notre interlocuteur s'est tourné vers Auric et Scott ; - Mais vous devez savoir de quoi je parle messeigneurs, il me semble que vous venez du même endroit que cet étranger. (...)
Je m'apprêtais à rompre le contact télépathique qui m'unissait au rapace lorsque j'aperçu quelque chose qui éveilla mon attention ; une douzaine d'Aldryani escaladaient les pentes rocheuses de la montagne ! Certains montaient des espèces de sangliers et tous avaient une peau presquenoire. C'étaient à n'en pas douter des Aldryani noirs, des Voralanes, ceux qui autrefois avaient suivit G'Baji et qui aujourd'hui encore hantent certaines parties de Dorastor. (...)
La matinée s'est déroulée sans encombre et vers midi nous avons aperçu les premiers bans de brumes annonciateurs des marais qui couvrent le Val Putride. C'est cet après-midi, alors que nous arrivions en vue de la RivièreNoire, que nous avons été assaillis par deux volatiles géants. Plus précisément par deux sorte d'aigles avec des gueules de serpent et un pelage grisâtre qui se fondait dans le brouillard. (...)